Rencontre Hollywoodienne... [ft Emma Chamberlain]

Rencontre Hollywoodienne... × ft. Adam & Emma

Presque en retard, Adam se mit à marcher très rapidement en voyant son professeur devant lui, qui avait pour habitude d’arriver en dernier. Il avait oublié qu’il avait cours alors qu’il faisait ses recherches à la bibliothèque. Des recherches sur… les évènements paranormaux qui se seraient passés à Mystic Falls, ou dans les alentours. Pris dans ses recherches, il ne vit pas qu’il était déjà presque cinq minutes en retard. Enfin, il avait toujours une marge : son prof, proche de la retraite, marchait avec une canne et arrivait en sueur et le souffle coupé dans sa salle de cours. Alors qu’il le dépassait, il lui adressa un petit sourire, et lui tint la porte, avant d’essayer de se trouver une place parmi les rares vacantes.

Le cours commença, et il commença lui aussi à prendre en note le maximum de choses. Très vite, le professeur bascula sur un sujet qui intéressait énormément Adam : la Littérature gothique, et tout ce qui entourait le paranormal en Littérature. Les livres de son enfance – et des livres qui, finalement, racontaient des histoires vraies. Très vite, il se rappela cette nuit. Celle où sa mère lui fut enlevé par un vampire. Celle où, cinq secondes avant que le monstre ne s’approche d’elle, il riait encore avec. Il chassa cette pensée, et se concentra à nouveau sur le cours.

Trop tard.

Il se mit à battre du pieds sur le sol, à répétition. Certes, son cours était le préféré. Mais, là, la fatigue, le stress et les souvenirs prenaient le dessus sur sa passion. Et, clairement, il allait falloir faire quelque chose pour lui éviter de craquer. A savoir : aller à la cafét’ et prendre son chocolat chaud quotidien, seul moyen qu’il avait trouver pour faire diminuer ses crises d’angoisses et ses petits problèmes de concentration. Avec l’Adderall. Mais il souhaitait éviter d’abuser de la deuxième option, bien plus que mauvaise pour sa santé que la première. Il écoutait distraitement les propos de son professeur, et prenait en note en un charabia illisible, même pour lui, alors qu’il s’agissait de sa propre écriture. Il allait se haïr lorsqu’il faudrait réviser tout ça, mais pour le coup, il s’en fichait un peu. Il serait presque sorti en courant de ce cours s’il ne le trouvait pas si passionnant, d’habitude. Il prit alors son mal en patience, tout en commençant à ranger ses affaires. Il n’en pouvait vraiment plus.

Vint enfin le mot magique de la part du professeur grisonnant à la voix presque robotique, déformée par le tabac et la nicotine – et un probable cancer du poumon – : ‘’j’ai fini, on reprend la semaine prochaine’’. Adam n’attendit pas plus d’une seconde avant de se lever de sa chaise et de sortir de l’Amphi, et déambula dans les dédales de l’Université. Il était arrivé à Mystic Falls depuis peu, et il avait changé d’Université depuis peu, et il lui semblait pourtant que ça faisait une éternité qu’il était là. Il connaissait presque par cœur les couloirs, et s’orientait comme s’il s’agissait de sa maison d’enfance. Heureusement, d’ailleurs. Il n’aurait pas donné cher de sa peau ici s’il commençait à avoir une crise de panique juste parce qu’il venait de se perdre…

Arrivant devant sa serveuse préférée, il lui fit un large sourire, et elle se chargea de lui faire son chocolat chaud. Il était arrivé depuis peu, mais elle le connaissait déjà très bien. Le petit brun stressé qui passait son temps dans des bouquins. Elle le trouvait un peu mignon et adorable, surtout dans cette chemise marron à carreaux dont il remontait les manches, dans son simple t-shirt noir, et dans son jean… noir. Il était certainement très loin de s’imaginer qu’il lui plaisait – et même qu’il plaisait à beaucoup de personnes, trop humble et même perdu pour s’intéresser à ça. Enfin, si, il y pensait énormément, à sa vie amoureuse. Mais il ne pensait pas être une personne populaire, juste normale. Saisissant le gobelet – très chaud – avec un sourire, faisant battre le cœur de la jeune serveuse, il marcha en direction de la sortie de la cafét…

Et, évidemment, scénario Hollywoodien oblige, heurta une jeune demoiselle qu’il n’avait pas vu, au détour d’un couloir, trop occupé lire le livre qu’il tenait dans main – Dracula, de Bram Stoker… Et vit le contenu de son gobelet s’étaler sur le haut de son t-shirt. Et aussi sur le haut de la demoiselle. Ca. Brûle. Il parvint avec difficulté à maintenir sa virilité existante et à retenir un cri suraigu… Avant de se préoccuper de la personne qu’il avait heurté. Elle avait perdu l’équilibre, et il lâcha son livre avant de la rattraper, de son bras le plus puissant. Heureusement, d’ailleurs, au vu de sa faiblesse physique : si c’avait été l’autre bras, il n’aurait jamais pu la maintenir debout…Là, il posa le regard sur la demoiselle devant lui.

Oh.
Mon.
Dieu.

C’était peut-être tout-à-fait cliché, et il se détestait pour ça. Mais qu’elle était… belle.

— Euh je euh vous allez bien désolé pour votre haut vous voulez que je le nettoie enfin non c’est pas ce que je voulais dire bien sûr mais bref euh voilà comment vous vous appelez vous voulez un café ?

Bravo, Adam. Bravo…

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Adam & Emma

✖Rencontre Hollywoodienne....✖

Aujourd'hui Emma s'était levée tôt, normal pour une journée de cours mais, il lui fallait au moins une heure pour bien se préparer. Elle avait commencé par prendre sous petit déjeuner avant d'aller dans la salle de bain, s'était dans cette pièce qu'elle passait le plus clair de son temps tous les matins avant de sortir. Emma alla donc à la douche afin de se débarbouiller. Elle laissais l'eau chaude couler le long de son corps réchauffant sa peau fraîche. Quand l'eau devient froide, elle attrapa une serviette, la met autour de sa taille et se sécha donc avant de retourner dans sa chambre pour pouvoir s'habiller. Elle enfila rapidement un jean et un haut puis, retourna dans la salle de bain afin de se sécher les cheveux et de les brosser, ce qu'elle avait horreur de faire tellement elle avait de nœud dans les cheveux. Une fois fait, la jeune femme se maquilla donc. Emma avait laissé la longue chevelure à l'air libre. Puis, elle enfila ses chaussures, une paire de bottes et enfila son manteau. Emma pris également son sac de cours avant de monter dans sa voiture.

Elle mis le contacte et démarrai en direction de l'université. Elle mis à peine quelques minutes avant d'arriver à destination. La jeune femme gara donc sa voiture sur le parking de l'université avant d'entrer dans l'établissement. Avant d'aller en cours, Emma avait toujours la manie de vouloir passer aux toilettes avant ce qu'elle fait donc en entrant à l'intérieur de l'établissement. En sortant des toilettes, Emma remarqua qu'elle avait oublié un livre de son premier cours, elle ne savait pas si elle l'avait laissé dans sa voiture ou chez elle. Emma regarda donc sa montre sur son poignet, il lui restait encore un peu de temps avant de la sonnerie sonne, elle alla donc à sa voiture. A peine quelques secondes plus tard, elle y était et son livre aussi, elle l'attrapa donc pour pouvoir aller en cours. Effectivement la sonnerie se mit à sonner pour avertir les étudiants qu'il était temps d'aller en cours. Emma s'était mis les mains sur les oreilles, elle ne supportait pas le bruit de la sonnerie dans ses oreilles, cela était très bruyant pour elle avec ses capacités de loup-garou.

Une fois avoir repris ses esprits, la jeune femme put donc se diriger vers sa salle de classe, elle arriva pile poil à l'heure, le prof venait à peine d'arriver tout comme les autres élèves. Emma s'installa donc à sa place habituel vers le milieu de la classe. La jeune femme écoutait le cours, elle était toujours concentré mais, cela ne l'empêché pas de faire plusieurs choses en même temps. Emma attrapa un stylo et, commença à faire du dessin sur son jean. Depuis qu'elle était au collège, la jeune femme faisait du dessin même si elle dessiné comme un cochon en particulier sur ses jeans. D'ailleurs, elle s'était faite engueulé plusieurs fois par sa mère à se sujet, mais bon maintenant, elle s'en foutait un peu vu que sa mère n'était plus dans ce même monde. Au bout d'un moment, la jeune femme arrêta pour prendre au moins quelles notes du cours pour pas trop être largué la fois prochaine.

L'heure passa plutôt vite pour Emma cette fois-ci. Des fois, elle avait l'impression d'être scotché à une chaise pendant plusieurs heures, c'est horrible, elle a juste envie de hurler dans ces temps-ci. Contrairement aux autres élèves, Emma n'est pas pressé à sortir de la salle, elle préfère laisser tout les autres sortir avant comme ça, il n'y a pas de risque qu'elle se retrouve le cul par terre avec tous les autres qui se bouscule pour sortir le plus vite possible. Une fois tout le monde sortit, Emma sortit donc à son tour. Étant en pause, Emma se dirigea donc vers la cafét, elle aimait bien y prendre un café pour se réchauffer sinon quand il faisait froid. Quand la jeune femme y arriva en tournant vers la cafét dans le couloir, Emma a droit à un chocolat chaud sur son tee-shirt, un jeune homme venait de le lui renverser dessus. La jeune ayant était surprise pouce un petit cri et fait un bon en arrière. Emma manque de se casser la figure mais, est rattrapé par le jeune homme qui lui avait sali son haut. Encore heureux déjà qu'elle s'est pris un chocolat dessus sans rien demander alors en plus si elle se serait retrouver par terre, saurait était la goutte d'eau qui fait débordé le vase.

Le jeune homme s'excusa donc auprès d'Emma, il avait l'air de bafouiller un peu quand même et, il lui demanda finalement son nom et l'invita à prendre un café probablement pour s'excuser de sa maladresse.

- Sa va, merci. C'est rien, j'ai déjà vu pire. Hm moi, c'est Emma et vous ? Avec plaisir, j'étais venue à la cafét pour en prendre un de toute façon.

Dernière édition par Emma Chamberlain le Dim 18 Oct - 18:14, édité 1 fois

Rencontre Hollywoodienne... × ft. Adam & Emma

Un petit cri aigu – mais pas le sien, l’honneur est sauf ! Il avait rattrapé le demoiselle au bon moment, tel un gentleman. Son chocolat chaud n’était qu’en partie renversé, et la tâche n’était pas si grande que ça. Et il avait encore assez à boire, après analyse détaillée du contenu restant de son gobelet. C’était presque trop beau pour être vrai. Non, pas la demoiselle qu’il avait malencontreusement bousculé – quoique, il devait reconnaître qu’elle était une sublime créature –, mais bien sa réaction. Il savait que s’il se faisait bousculer, il serait certainement consterné et détruirait tout ce qui bougeait – enfin, ce que sa force lui permettait de détruire. Et elle… Si elle avait affiché un petit rictus d’énervement, elle ne sembla pas plus tiquer que ça ou presque, alors qu’il avait salit son haut. Jour de chance, deuxième depuis le début de la semaine. Après la rencontre avec Tennessee, la rencontre avec…

— Ca va, merci. C’est rien, j’ai déjà vu pire. Hm moi, c’est Emma et vous ? Avec plaisir, j’étais venu à la cafét pour en prendre un de toute façon.

La rencontre avec… Emma. Il pensa évidemment à Emma Bovary, et à toutes les autres Emma du monde. Joli prénom, bien qu’il ne faisait pas forcément attention à ça. Il n’aimait pas trop le sien, alors il faisait de son mieux pour ne pas juger celui des autres. Adam, pour lui, l’Athée, c’était beaucoup trop biblique. Mais bon, pour sa Chrétienne de mère, c’était un joli prénom. Et si ça venait d’elle… Il devait forcément l’accepter. Et voilà, il se dit qu’encore une fois, il était parti beaucoup trop loin dans sa pensée… Et il réalisa aussi que la demoiselle devait attendre sa réponse depuis maintenant quelques secondes. Le boulet.

— Adam, Adam Porter. Je… Il y a une table ici, installez-vous, je vous le ramène de suite. Vous le préférez avec… ?

Il l’écouta attentivement, retenant ce qu’elle voulait pour accompagner son café, fit trois pas en arrière, la fixant toujours… Et se dirigea vers sa serveuse préférée – Amy, celle qui lui avait servi le chocolat chaud et qui l’aimait bien, vous suivez ? – qui lui fit un clin d’œil en le voyant revenir.

— Est-ce-que tu peux me faire un café ? C’est pour… euh… Emma, je crois.

— Pas de souci, Adam.

Il la remercia en joignant les mains, et en lui murmurant un ‘’t’es la meilleure !’’. Elle eut un petit rire cristallin et commença la préparation. Se retournant, il vit Emma s’installer à sa chaise. Il se mordit la lèvre inférieure. Bon sang. Si Tennessee lui avait fait un effet bizarre, alors elle… Elle était véritablement magnifique. C’était presque ridicule. Il aurait presque envie de la regarder avec dédain et jalousie en lui disant ‘’C’est une blague, on dirait que t’es photoshopée, sérieusement…’’. A la place, il se contentait de la dévorer du regard. Il n’y avait vraiment pas d’autres mots pour désigner son attitude. Il paraissait tellement persistant que ce fut Amy qui le rappela et le réveilla en lui faisant un ‘Pst’. Il se retourna sur elle et comprit que mater une fille, qui jouait dans une autre classe que lui, alors qu’il venait de lui renverser du chocolat chaud sur son T-shirt n’était pas la meilleure idée qui soit. Il prit dans sa main le plateau que lui tendit Amy avant de revenir à leur table. Quand elle détourna son regard vers lui, il sourit faiblement, plein d’hésitation aussi. Il posa délicatement le plateau sur la table, et s’installa sur le tabouret juste en face de celui d’Emma.

C’était presque… romantique. Un café entre deux heures de cours – ou un chocolat chaud, aussi – alors que les deux venaient de se rencontrer en se bousculant, et maintenant un tête à tête. Adam se frappa mentalement. C’était tellement cliché. Il s’en voulait presque de tomber aussi facilement sous les charmes d’une fille, alors qu’il avait déjà eu une histoire très compliquée au Lycée… Qui s’était soldé par un ‘’J’ai compris, je crois que je préfère ne plus tomber amoureux.’’. Mais en même temps, il se disait qu’il ne pouvait pas faire autrement. Ses cheveux longs, mi-châtains mi-blonds, quoique plus châtains, ses lèvres presque pulpeuses, ses pommettes juste parfaites, ses yeux d’un noir qui semblaient sonder son âme et le dévorer à chaque instant, et les quelques touches de maquillage pour tout mettre en valeur – ‘’comme si elle en avait besoin !’’ ne pouvait s’empêcher de penser Adam – : et pour ne rien gâcher… Son corps était celui d’un mannequin sorti du plus grand défile de mode au monde.
Bien, respire, doucement. Ne panique pas, parle-lui simplement, comme si c’était un gars. Bordel, qu’est-ce-que tu viens de penser… ?

— On m’a conseillé un pressing assez sympa quand je suis arrivé ici, si vous voulez…

Il ferma les yeux, réalisant qu’il ne devrait peut-être pas parler de ça. Elle avait eu la clémence de le pardonner une fois, pas deux.

— Ok, je m’enfonce. Désolé.

Changer de sujet, maintenant.

— Je ne vous ai jamais vu ici, avant… Vous étudiez en… ?

Au vu de son physique, et de son regard, une matière compliquée. Son regard, s’il le dévorait, inspirait aussi l’intelligence. Elle devait être tout-à-fait brillante et hors du commun.
Hors de son atteinte, aussi : mais, ça, il en avait l’habitude…

— Enfin, ce n’est pas si étonnant que je ne vous ai jamais croisée ici, je viens à peine d’arriver, en fait…

Au moins, il avait retrouvé un débit de parole presque normal. Sa crise l’avait passé. Bizarrement, s’il était tendu après le cours, il se… déstressait, petit-à-petit. La situation était intimidante, même embarrassante. Et pourtant, il la tenait mieux que ce qu’il aurait pensé.
Il n’avait même pas lâché une larme, ni un cri, ni même fuit en se mettant à trembler et en ayant une crise de tension. En fait, il voulait juste… Rester ici. Et lui parler. C’était un sentiment assez étrange. Cette impression… D’être en sécurité, peut-être ? Comme si la personne en face de lui possédait le pouvoir de refermer ses plaies, et de le faire sourire.

Alors, il fit ce qu’il savait le mieux faire.

Il sourit.

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Adam & Emma

✖Rencontre Hollywoodienne....✖

Emma avait été très surprise lorsqu'elle avait reçu le chocolat du jeune homme sur son tee-shirt. La jeune femme étant surprise à pousser un cri sur le coup et, elle manque de se casser la figure, mais fut rattraper à temps par le jeune homme. Il s'excusa donc auprès d'Emma, et cette dernière le remercia pour éviter qu'elle se retrouve par terre s'était la moindre des choses tout de même. Il lui demanda donc son prénom et si elle voulait prendre un café, la jeune femme lui répondit donc qu'elle s’appelait Emma et qu'elle serait ravie de prendre un café, elle était venue à la cafét pour de toute façon avant cet incident. La louve lui retourna donc la question pour connaître son prénom. Emma regarda le jeune homme, il avait l'air assez pensif, c'est peut être pour cela qu'elle attendait toujours sa réponse à son nom. Il était mignon mais, étrange un peu quand même. Elle attendit encore quelque seconde avant que le jeune homme lui dise enfin son prénom.

- Adam, Adam Porter. Je... Il y a une table ici, installez-vous, je vous le ramène de suite. Vous le préférez avec... ?

Il s'appelait Adam. Emma n'en avait pas connu dans sa vie, s'était une première. Le jeune homme lui demanda donc ce qu'elle préféré avec son café.

- Ravie de vous connaître. Hm je le préféré avec un peu de lait, s'ils vous plaît.

Emma s'installa donc à la table qu'il lui avait indiqué en attendant que le jeune homme lui ramène son café au lait. En attendant que son café arrive, Emma regarda son tee-shirt étant une louve la chaleur ne la dérangé pas, elle ne se préoccupa plus de son haut, dessus il y avait juste une tache de chocolat chaud, sa va cela n'allait pas la tuer. En attendant son café, la jeune femme regarda un peu partout dans la cafét, elle reconnaît des personnes de sa classe qui prenaient également un café. Eux au moins avait eu de la chance qu'il n'y en ai pas un qui finisse sur leurs tee-shirts. Quelques minutes plus tard, le jeune homme arriva vers la jeune femme avec le plateau à la main, il s'installa donc en face d'Emma. La jeune femme attrapa donc son café au lait, en boit aussitôt une gorgée avant de lever la tête vers le jeune homme.

- On m'a conseillé un pressing assez sympa quand je suis arrivé ici, si vous voulez...

La jeune femme ne répondit pas le moment pensant que le jeune homme n'avait pas terminé sa phrase.

- Ok, je m'enfonce. Désolé.

Effectivement, il n'avait pas tort mais, bon s'était plutôt plus drôle contre chose puisque Emma se mit à rire à ce que venait de dire le jeune homme.

- Pas de soucis, vous inquiétez pas. Merci quand même.

Lui dit-elle en plaisantant avant de complètement passer à autre chose, après tout c'est vraie qu'ils n'allaient pas parler de ça pendant dix ans, il fallait bien parler d'autre chose pour faire connaissance.

- Je ne vous ai jamais vu ici, avant... Vous étudiez en... ?

Le jeune homme avait l'air de nature curieuse probablement, mais cela n'était pas un problème après tout dépend de la situation. Emma pouvait paraître timide au première abord, mais en fait, elle ne l'était pas du tout, elle aimait beaucoup discuter. Étant plus jeune, elle avait déjà passé des nuits blanche à faire que discuter.

- J'étudie la médecine. Et vous.. Vous étudiez quoi ?

La jeune femme aussi était curieuse et, voulait en apprendre plus sur le charmant jeune homme qui se tenait devant elle. Il avait l'air d'être assez réservé et, était un peu bizarre mais, cela n'empêchait pas Emma d'avoir envie de le connaître.

- Enfin, ce n'est pas si étonnant que je ne vous ai jamais croisée ici, je viens à peine d'arriver, en fait...

Lui aussi. Au moins, ils étaient deux, Emma aussi venait à peine d'arriver en ville après la mort de sa mère. Emma boit de nouveau quelques gorgées de son café au lait, elle met ses mains autour du gobelet pour pourvoir se réchauffer les mains un petit peu.

- Ah, vous aussi. Je viens également d'arriver à Mystic Falls depuis peu de temps.

Elle n'allait pas lui dire qu'elle était venue ici après la mort de sa mère maintenant, et qu'en plus elle ne connaissait pas du tout son père.

Dernière édition par Emma Chamberlain le Dim 18 Oct - 22:35, édité 1 fois

Rencontre Hollywoodienne... × ft. Adam & Emma

Cette fille était vraiment… particulière. Au moins, il avait réussi à être un minimum galant avec elle après leur rencontre plutôt chaotique, et qui ne présageait absolument rien de bien. Il se sentit presque défaillir lorsqu’elle lui dit qu’elle était ravie de le connaître. Là, si un Archange était tombé du ciel en fracassant le toit de la cafétéria et aurait annoncé qu’il comptait détruire le monde entier grâce à la puissance des ténèbres, il ne s’en serait même pas préoccupé. Quoi ? ‘’Exagéré’’ ? C’est que vous ne connaissez pas Adam et l’éternel romantique qu’il est. En même temps, on peut dire qu’il était rarement allé aussi loin avec une fille. Oui, rarement allé plus loin que de lui renverser un chocolat chaud sur le T-shirt d’une fille. En même temps, heureusement qu’il n’ait jamais fait pire. C’aurait pu empirer encore plus sa réputation de gars maladroit à éviter. Bon, en même temps… Il fallait le reconnaître : il avait deux bras gauches, et il avait l’agilité et la dextérité d’un unijambiste. Voire d’un cul-de-jatte. Elle lui annonça qu’elle préférait le café avec un peu de lait – parfait. C’était tellement bon, le lait. Sa boisson préférée après le chocolat chaud, et il ne s’approchait pas d’un café que s’il y avait du lait et du sucre. Au moins, ils avaient un point commun. Ils aimaient le café au lait. Gros point commun, vraiment. Il fut étonné de la réaction de la demoiselle lorsqu’il lui dit qu’il était en train de s’enfoncer. Elle se mit à rire.

— Pas de soucis, vous inquiétez pas. Merci quand même.

Ah quoi je non hein- venait-elle vraiment de rire à une phrase aussi stupide ? Ce n’était même plus de la gentillesse qu’elle dégageait, c’était tout simplement de la bienveillance et de l’avenance. Ils changèrent de sujet par la suite, évidemment. Sujet lancé par Adam, pour faire penser à autre chose au fait qu’il avait tâché ce si beau et joli haut. Sa curiosité naturelle le poussa à la phraser, et à lui demander ce qu’elle faisait et étudiait ici. Il y a quelques années, il serait certainement resté muet en attendant que la demoiselle ne daigne lui adresser la parole. C’est drôle, comment les choses peuvent changer d’un jour à l’autre. Il était presque fier de lui et de son évolution. L’autre lui répondit, toujours avec le même intérêt, la même tonalité. Sa voix était douce et claire, sonnant mélodieusement aux oreilles d’Adam, qui sourit en entendant sa réponse.

— J’étudie la médecine. Et vous… Vous étudiez quoi ?

Question naturelle, après tout. Il se sentit un peu bête, cependant : étudier la Littérature, c’est bien. Etudier la médecine, c’est… Prestigieux. Quelque chose de compliqué, et qu’il aurait aimé faire, en fait. Mais il n’avait jamais été très bon dans tout ça. Et puis, il préférait tout de même la Littérature au reste, en fait. Quoique sauver des êtres humains avait son charme. Il s’ôta la vision d’Emma en train de lui sauver la vie, ou même de lui soigner un petit bobo. Il allait s’administrer une autre claque mentale quand il se dit qu’il s’était déjà assez frappé pour aujourd’hui, et se décida tout de même de répondre à la demoiselle, qui attendait, encore une fois, sa réponse depuis quelques secondes déjà.

— Littérature et Lettres, troisième année.

Il espérait ne pas paraître bizarre, ni même glauque, ni même autre chose qui avait une connotation négative. Mais c’était certainement déjà trop tard, lui qui était vraiment le type le plus louche, bizarre, lent et en même hyperactif au monde. Au moins, on ne s’ennuyait jamais avec lui. Il était difficile à calmer – ses rares amis à la Nouvelle-Orléans avaient l’habitude de le consoler jusqu’à des cinq heures du matin, certes, mais il était une personne en or, vraiment. Surtout si vous étiez son ami, ou plus ; il n’hésiterait pas à faire quoique ce soit pour vous. Adam était le genre d’ami qui était capable de cacher un cadavre pour vous. Bon, il ne l’avait jamais fait, mais quand même, il était sûr d’en être capable. Bien qu’il ne voulait pas vraiment essayer, en fait. Il lui exposa le fait qu’il venait d’arriver il y a peu, d’où le fait qu’il ne l’avait jamais vue auparavant. Oui, bravo, capitaine évidence. Encore une fois, le stressé hyperactif avait parlé avant de réfléchir.

— Ah, vous aussi. Je viens également d’arriver à Mystic Falls depuis peu de temps.

Oh, c’était intéressant, ça.

— Ah ? Vous habitiez où, avant ? Votre accent ne me dis rien…

Avec un peu de chance, elle accepterait presque de découvrir la ville avec lui, ce soir, par exemple… Il la regarda avec un sourire tout-à-fait sincère, et décida qu’il était temps de devenir un homme, et donc de prendre son courage à deux mains… Et de lui proposer quelque chose de plus personnel qu’un café.

— On est les deux paumés du coin, alors, hein… Ca vous dirait de sortir, ce soir, ou un autre jour ? On pourrait aller au ciné, ou je pourrais vous inviter à dîner quelque part, à tout hasard…

La deuxième proposition était quand même beaucoup plus… romantique, que ce qu’il avait espéré dire. Son ton avait été trop enjôleur. C’était une bonne et une mauvaise chose ; il espérait qu’elle n’allait pas se dire qu’il était un pervers qui allait un peu rapidement en besogne. D’un côté, c’était pas faux. Entre Tennessee et Emma, il avait sauté quarante-sept étapes, brûlé cent deux autres, pour arriver à la case du rencart.

Enfin, pour Emma, ça n’était pas vraiment sûr.

— C'est pas un rendez-vous galant ou autre chose, juste... euh... j'ai bien envie de vous connaître, en fait.

Il s'était dit, après s'être entendu parler, qu'il aurait peut-être dû s'arrêter à sa demande, juste avant. Il avait un peu... réussi à faire pire que mieux, et à empirer son cas.

Incroyable, Adam.

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Adam & Emma

✖Rencontre Hollywoodienne....✖

Ce garçon était vraiment... particulier. Emma voulait vraiment faire sa connaissance, en apprendre plus sur lui, il avait l'air d'une très bonne compagnie. Il avait l'air d'un gentil garçon, sa change contrairement aux autres garçons qu'Emma avait rencontré ou entendu parler dans sa vie à commencer par son propre père qui l'avait abandonné quand elle petite, il n'avait même pas pris la peine de la tenir dans ses bras juste quand la mère d'Emma lui avait appris qu'elle était enceinte, il était juste partit. A ce moment précis, Emma pourrait même pas dire s'il est vivant ou mort. Enfin bref, Emma préféra d'arrêter d'y penser même si elle pensait souvent à son père, n'ayant plus sa mère, normal non ? Avec le temps, quand Emma posait des questions à sa mère sur son père, cette dernière lui répondait simplement qu'elle devait juste se dire que s'était un salop, connard tout ce qu'elle voulait de négatif à ce sujet. La jeune femme reprend donc ses esprits, et se concentre sur ce que tu lui disait le jeune homme.

- Littérature et lettres, troisième année.

Tiens, elle était tombé sur un littéraire. Il devait être intelligent alors et, être très logique, faire de nombreux liens. Peut être que la jeune femme aurait le temps de voir cela plupart, elle l’espérai en tout cas. Et puis, un littéraire sa pourrait servir, je ne sais pas encore pourquoi mais, c'est une bonne chose puisque Emma n'en ai pas une. Le jeune homme lui expliqua donc qu'il venait lui aussi d'arriver en ville ce qui fait sourire Emma. Comme par hasard, elle était tombé sur le mec qui venait d'arriver à Mystic Falls, comme quoi parfois le hasard fait bien les choses.

- Ah ? Vous habitiez où, avant ? Votre accent ne me dit rien...

Le jeune homme se mit à sourire, Emma ne put donc s'empêcher de faire la même chose, elle le trouvait tellement beau quand il souriait. Pas qu'il soit moche en temps normal, bien sûr que non, mais quand il souriait, il avait ce petit truc en plus qui faisait qu'on pouvait rapidement tomber sous son charme.

- Je viens... d'Australie. J'y ai passé toute mon enfance avec ma mère, avant de venir en Amérique.

Penser à sa mère était toujours quelque chose de douloureux pour Emma bien évidement, mais elle avait tous les souvenirs avec elle, s'était le principal même si elle en aurait voulu davantage, mais sa bien évidement, elle ne l'avait pas choisi de laisser sa fille seule n'ayant vers qui se tourner. La jeune femme se demanda donc d'où le jeune homme lui pouvait bien venir.

- Et vous... vous habitiez où avant de venir ici ?

Lui dit-elle suivit d'un sourire. Depuis qu'elle l'avait rencontré donc depuis à peine quelques minutes, Emma avait déjà remarqué qu'ils avaient plusieurs point en communs. Même si cela avait mal démarré avec le chocolat sur le haut, finalement Emma ne regrettait pas une seule seconde cet incident du jeune homme, elle y avait rencontré le genre de personne qu'elle n'espérerai plus rencontrer. Quelqu'un qui lui faisait se sentir bien.

- On est les deux paumés du coin, alors, hein... Ca vous dirait de sortir, ce soir, ou un autre jour ? On pourrait aller au ciné, ou je pourrais vous inviter à dîner quelque part, à tout hasard...

La proposition du jeune homme la fit sourire de nouveau. Elle attendit un instant avant de lui répondre, était-il en train de donner un rancard là ?

- C'est pas un rendez-vous galant ou autre chose, juste... euh... j'ai bien envie de vous connaître, en fait.

Était il vraiment sincère ? De toute façon peut importe, elle n'avait pas le temps de se poser la question. Emma n'avait rien de mieux à faire, qu'est-ce qui l'attendait chez elle ? Un plateau repas devant la télévision, génial. Autant en profiter, c'est pas le genre de proposition qu'on peut refuser surtout venant d'un jeune homme aussi charmant. Elle aurait la télévision tous les autres soirs alors, il n'y avait plus lieux de choisir, sa décision était déjà prise à l'avance.

- Oui, volontiers avec plaisir. J'ai personne qui m'attend se soir de toute façon, a part peut être la télé, mais elle, elle peut attendre une soirée de plus.

Lui dit-elle en plaisantant. A près tout, elle avait bien le droit de profiter, elle connaissait encore très peu la ville, alors s'était l'occasion de la découvrir en bonne compagnie que demande le peuple.

Rencontre Hollywoodienne... × ft. Adam & Emma

Au moins, ça avait du bon, parfois, de prendre son courage à deux mains et d’exposer clairement ce que l’on souhaite. Par exemple, inviter la sublime créature qu’était Emma à prendre un café : mission impossible pour Adam, en temps normal. Mais depuis sa rencontre avec Tennessee, il s’était dit qu’il était peut-être plus plaisant qu’il ne le pensait, et qu’il pouvait donc s’aventurer dans des terres plus sinueuses. Certes, il était le garçon le plus bizarre au monde, le plus hyperactif, le plus stressé, le plus illogique – quoiqu’il pouvait être logique si la chose l’intéressait ou qu’il fallait se sauver la vie – et surtout le plus sarcastique au monde, mais il avait compris qu’il était apparemment mignon, attendrissant, et qu’il attirait l’amour et la considération des gens par ses qualités. Oui, oui, des qualités : tu en as, Petit Prince. L’humour, la maladresse mignonne, la timidité mignonne, bref, tout ce qui peut se rapporter à la mignonnerie, et aussi la compréhension, l’empathie, la sympathie. Et tout ça, ça se voyait en un sourire, en un regard ; soyons-honnête, notre première impression des gens est souvent la bonne, car leurs traits de caractère transparaissent à travers un regard, un sourire, leur façon d’être, de marcher, de manger, de bouger, de parler, de vivre, de respirer, de regarder, d’analyser, d’écrire, de chanter, de sourire. Et, là, à ce moment, Adam savait une chose. Lui, aussi bien qu’Emma, partageaient bien plus que le simple fait d’être les deux petits nouveaux complètement perdus. Une preuve de cela ?

Le sentiment de bien-être qui entourait Adam et le confortait.

Puis, comme pour briser cet instant de poésie qui n’aurait su durer – la vie n’est pas un poème, après tout – la voix d’Emma reprit la suite. Quittant une poésie pour une douce chanson, Adam conservait son superbe sourire, celui qui faisait craquer les gens, leur donnant simplement l’envie de lui faire un câlin, de le prendre dans ses bras. Déjà que de base, ce n’était pas l’envie qui manquait… Mais alors… Avec ce sourire, c’était presque mission impossible de résister. L’échange qui suivait était des plus banals, mais même cette banalité avec une couleur de bonheur lorsqu’elle provenait de la bouche et des lèvres d’Emma.

— Je viens… d’Australie. J’y ai passé toute mon enfance avec ma mère, avant de venir en Amérique.

L’Australie. C’était un si beau pays : la nature, la culture, les villes, les paysages, les animaux, tout là-bas avait un petit charme, un certain exotisme, quelque chose d’inconnu, d’étranger, mais qui n’inspirait pas la peur, non, pas la peur de l’inconnu, celle qui nous tiraille et nous empêche à sortir de notre zone de confort, non, l’inconnu qui nous inspire et nous donne envie d’avancer, qui veut faire de nous quelque chose de plus grand. Il s’était toujours imaginé là-bas, juste quelques instants, quelques secondes, se projeter là-bas, ressentir, sentir, voir, entendre, toucher. C’aurait été un spectacle si charmant ; mais il n’a jamais pu y aller, et il ne pensa plus à bouger de chez lui dès lors que sa mère lui fut enlevé.

— Et vous… vous habitez où avant de venir ici ?

— J’habitais la Nouvelle-Orléans. Je suis venu… Pour raisons familiales, on va dire. L’Australie ? J’ai toujours voulu y aller. Tout me semble si exotique, si intéressant, si excitant, là-bas ! Voilà pourquoi je ne voyais pas d’où pouvait provenir un si joli accent… Enfin, euh…

Il enchaînait les bourdes comme on enchaînait les prisonniers, mais à vrai dire, il s’en fichait un peu. Il savait qu’avec elle, ça la ferait rire, ou la ferait se sentir appréciée, et qu’elle serait même un peu fière d’entendre ce genre de compliments, mi-voilé mi-raté. C’était maladroit, mais, à vrai dire, il était sûr que ça lui plaisait. Il devenait un peu rouge – quoiqu’il l’était déjà – mais su se contrôler. C’était un spectacle mignon et charmant, des paroles légères et pourtant lourdes de sens. Vint ensuite la proposition d’Adam : sortir ensemble. Pour voir un film, bien sûr, rien de plus. Ou presque. Cette pensée vint lui décrocher un sourire mental- il était vainqueur sur cette manche. L’anxiété disparut définitivement lorsqu’il vit les lèvres d’Emma bouger dans un sourire et avec un petit rire cristallin, tonné d’une certaine joie. Sans même entendre ce qu’elle disait, il savait ce qu’elle allait lui dire. Il tendit tout de même l’oreille et sortit de sa torpeur, voulant plus entendre la voix d’Emma que sa réponse qu’il était sûr, allait être positive.

— Oui, volontiers avec plaisir. J’ai personne qui m’attend ce soir de toute façon, à part peut-être la télé, mais elle, elle peut attendre une soirée de plus.

Il sentit encore plus l’air souriant dans sa voix. Il n’en revenait pas, intérieurement : elle plaisantait avec lui, riait à ses blagues, lui faisait des sourires qui lui feraient presque décrocher la lune pour lui offrir. Presque ; parce qu’il savait qu’il n’en était pas capable, bien sûr, il ne se priverait pas d’essayer dans le futur. Il eut son sourire de winner, victorieux, plus narquois qu’autre chose, et ouvrit ses bras, se jetant un peu en arrière sur sa pauvre chaise. Réaction incontrôlée, elle allait sûrement comprendre ce qui se cachait derrière cette petite invitation – quoi, elle ne l’avait pas encore deviné ? Il tiqua lorsqu’il entendit « je n’ai personne qui m’attend ce soir »…

— Oh… Vous vivez seule ? Vous avez un appartement étudiant, alors ? En centre-ville, peut-être ? J’y habite ! dit-il, ne sachant absolument pas la réaction qu’il allait provoquer en parlant de « vivre seule », rappelant sûrement à Emma de durs souvenirs de famille…

Quoiqu’il en soit, cette journée se terminait quand même bien mieux qu’elle n’avait commencé : il était passé d’un état de panique, à un rancard pour le soir même. Avec Emma.

— On m’a montré un bon café l’autre jour, et, je dois avouer, les cafés de là-bas sont plutôt bons… Et leurs chocolats chauds, aussi. Vous avez une heure précise, ou… ?

Et comme toujours, un éternel sourire. Il allait sûrement avoir mal aux mâchoires après, mais ça valait le coup.

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Adam & Emma

✖Rencontre Hollywoodienne....✖

La jeune femme était contente de l'avoir rencontré, ils pouvaient à présent faire plus ample connaissance jusqu'à devenir ami, et peut être plus si affinité qui sait. Ils parlèrent donc de leur étude, se demandant chacun ce que faisait l'autre comme étude. Emma était tombé avec un littéraire et lui avec une future médecin ou autre métier qui touche à la médecine. Après cela la jeune femme expliqua donc au jeune homme qu'elle était née et avait grandi en Australie. Comme ils venaient tout les deux d'arriver à Mystic Falls, le jeune homme n'avait pas reconnu l'accent d'Emma. Le jeune homme lui n'avait pas d'accent particulier, mais étant de nature curieuse, Emma se demanda quand même d'où était-il avant. Où avait-il vécu.

- J'habitais la Nouvelle-Orléans. Je suis venu... Pour raisons familiales, on va dire. L'Australie ? J'ai toujours voulu y aller. Tout me semble si exotique, si intéressant, si excitant, là-bas ! Voilà pourquoi je ne voyais pas d'où pouvait provenir un si joli accent... Enfin, euh...

Emma ne put s'empêcher de sourire à nouveau, il était tellement mignon quand il bafouillé. Quand il avait l'impression d'avoir fait une bourde, d'avoir dit quelque chose de maladroit ce qui faisait plutôt sourire la jeune femme. Elle pouvait paraître maladroite elle aussi, comme tout le monde, mais il fallait l'avouer qu'elle n'avait jamais à ses souvenirs rencontré une personne comme lui, ce qui n'était pas forcément mauvais signe bien au contraire.

- Ah les raisons familiales, je sais ce que sait. Oui ça l'est. Je vous confirme que c'est une très belle ville. D'ailleurs, je ne me voyais pas vivre ailleurs, mais j'ai dû déménager aussi pour des raisons familiales, je ne pouvais plus vivre en Australie s'était trop dur.

Effectivement, le faite de rester à vivre dans la maison dans laquelle elle avait grandi avec sa mère qui venait de décéder depuis peu, elle n'arriverait plus à le supporter s'était pour cette seule, et unique raison qu'elle était venu s'installer à Mystic Falls. Puis, le jeune homme invita donc Emma a sortir le soir même alors, qu'ils venaient à peine de se rencontrer. Cela n'était pas le plus dérangeant pour la jeune femme, c'est sûre. Même si elle n'était pas de nature timide, elle avait quand même au départ du mal à se lier d'amitié comme ça, aussi vite avec une personne alors, qu'elle venait à peine d'arriver en ville.

- Oh... Vous vivez seule ? Vous avez un appartement étudiant, alors ? En centre-ville, peut-être ? J'y habite !

Il était vraiment curieux comme garçon, Emma l'était aussi comme fille. Se n'est pas ce qui la dérangé puis, même s'ils venaient de faire connaissance, la jeune femme devrait probablement lui parler de ses parents un jour au l'autre alors autant le faire maintenant. Ce n'était pas une histoire qu'elle racontait facilement, et à n'importe qui, mais avec Adam, elle savait qu'elle pouvait lui faire confiance. Limite, elle pourrait le suivre les yeux fermés à savoir où il l’amènerait. Elle ne pouvait pas l'expliquer, mais en sa présence, elle se sentait en sécurité même si elle était un loup-garou capable de se défendre toute seule.

- Oui, effectivement j'ai un appartement en centre-ville.

Lui dit la jeune femme, cela la faisait aussitôt sourire quand, le jeune homme lui avait dit que lui aussi habitait dans le centre-ville de Mystic Falls. Puis, Emma prend une grande inspiration avant de se mettre à lui parler de ses parents.

- Oui, je vis seule également. En fait, pour tout vous dire ma mère est... morte. Et mon père, je ne le connais pas. Il est partit dès ma naissance.

Lui dit-elle d'un air triste, plus pour sa mère que son père. Au moins les choses étaient dites à présent.

- On m'a montré un bon café l'autre jour, et, je doit avouer, les cafés de là-bas sont plutôt bons... Et leurs chocolats chauds, aussi. Vous avez une heure précise, ou... ?

Emma mit quelques secondes à réfléchir avant répondre au jeune homme en face d'elle.

- Non, je n'ai pas d'heure précise, non. J'ai tout le temps. Hm d'accord, mais par contre si vous prenez un chocolat chaud... buvez-le vite. Je ne veux pas que mon haut en fasse les frais.

Lui dit-elle en plaisantant en faisant référence à leur rencontre quand le jeune homme lui avait renversé son chocolat chaud sur son tee-shirt par accident.

Rencontre Hollywoodienne... × ft. Adam & Emma

Mademoiselle Sauvage semblait être réceptive. Aussi étonnant que cela pouvait paraître, Adam avait réussi à la faire sourire et rire plusieurs fois. Ce qui, pour lui, était un véritable exploit. Du moins, il ne pensait pas être capable d’un telle chose ; par pure modestie, ou peut-être par pure haine de lui-même, il ne se pensait pas capable de grand-chose, de toute façon.
Bien qu’en présence de la Princesse Sauvage, comme il venait tout juste de la surnommer – dans sa tête, bien sûr – il se fichait de tout ça : il n’avait pas l’impression de gaffer, ou même d’être un peu bizarre. Avec elle, ses extravagances – bien qu’il ne soit pas réellement extravaguant – étaient tout simplement normales. Il en était même plutôt fier, ce qui était un grand pas en avant. Il sourit lorsqu’elle lui parla de l’Australie : il s’imaginait encore la vie là-bas, lui qui adorait ce genre de paysages. Ils réchauffaient un peu son cœur. Il avait toujours aimé l’Hiver, l’Automne, les nuits poétiques à contempler la pluie tomber et les feuilles d’arbres tomber sur le sol… Mais il fallait parfois un peu de chaleur, un peu de couleur, pour faire fondre la glace hivernale entourant son cœur, comme pour l’immuniser de tous sentiments qui pourraient le blesser.
Toutefois, tout son sourire disparut en un instant. Dès lors qu’elle évoqua le fait qu’elle avait dû déménager pour des raisons familiales, que le fait de vivre en Australie était trop dure pour elle. Il en fut presque… Choqué. Plutôt intrigué, mais en même temps peiné et attristé. Qu’avait-elle vécu ? Elle qui avait l’air si innocente… Le fait de savoir qu’elle avait vécu un drame l’ayant mené à fuir toute sa vie le rendait mélancolique. Il lui fit un sourire, et se retint de lui prendre la main, comme pour la rassurer.

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Après cela, elle répondit à quelques-unes de ses questions. Principalement sur le fait qu’elle vivait en centre-ville, tout comme lui. A cette pensée, son esprit s’illumina, se disant qu’il allait certainement la croiser plus souvent. Et aussi qu’il allait devoir faire plus attention à son look et à son style vestimentaire en sortant de chez lui, histoire d’éviter de la croiser les jours où il serait le plus… méconnaissable. Challenge accepted.
Il vit la mine de la demoiselle changer un peu plus encore. Elle semblait encore plus peinée et attristée que tout à l’heure, lorsqu’elle avait expliqué qu’elle avait du déménager pour raisons familiales. Lorsqu’il vit son regard de voiler ainsi, il comprit que quelque chose de grave, véritablement grave, s’était passé. Bien plus qu’une faillite dans l’entreprise familiale, bien plus qu’une mutation pour le travail. C’était quelque chose qui l’avait profondément marquée, profondément touchée. Il avait de la peine pour elle ; il avait certes toujours été empathe, mais il pouvait comprendre la douleur de la demoiselle. Après tout, lui aussi avait vécu un nombre incalculable d’angoisses… Et il avait du affronter la mort. Le deuil.
Vint les mots qu’il avait peur d’entendre. Mère. Morte. Un flashback d’à peine une seconde le ramena en arrière, voyant sa mère tomber au sol, le regard vide, alors qu’il était d’habitude si joyeux, plein de vie, de lumière. Il chassa ce mauvais songe et fixa la demoiselle, devant lui, dont les yeux s’humidifiaient petit-à-petit. Comment devait-il réagir ? Lui raconter sa propre histoire, quitte à la faire pleurer et à l’attrister pour lui, ou simplement essayer de la rassurer, de la réconforter ?
Il n’avait jamais été très doué pour rassurer les autres, ni même pour les réconforter. C’était plutôt généralement lui qui était bercé, pris dans les bras, et calmé, pour qu’enfin, il puisse s’endormir en paix, sereinement. Le fait d’être dans la position inverse l’angoissait : il ne connaissait pas cette situation. Il allait devoir… improviser, en espérant frapper dans le juste. Il prit une longue inspiration, semblable à celle qu’elle avait prise elle-même avant de raconter son histoire.

« Ma mère aussi… Est morte. Elle a été assassiné. Sous mes yeux. Après un dîner de famille. il souffla du nez, par pur dégoût, et par pure haine. Sa colère était palpable. Je me souviens encore des mots de mon Psy à mon père… ‘’Il ne pourra pas le voir, mais il pourra le sentir. Tous les jours, pour le reste de sa vie. Des ténèbres, autour de son cœur. Comme une cicatrice.’’ »

Il bougeait sa tête de droite à gauche, lentement. Sa voix s’était nouée, les derniers mots étant presque restés dans sa bouche, dans sa gorge. Les larmes lui montaient lentement jusqu’aux yeux. Il se sentait honteux, d’avoir dit tout ça. Non pas parce qu’il ne voulait pas en parler… Mais simplement car il était sûr qu’il n’aurait jamais du dire ça. Il détruisait la bonne ambiance encore plus. C’était… D’un glauque.
Mais trop tard, il ne pouvait pas s’empêcher d’être triste… Et d’y repenser. Encore. Comme plus tôt, dans la journée. Cessait-il seulement d’y penser, au moins une seule fois ?

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« Wow… On a un peu cassé l’ambiance. Désolé d’avoir dit tout ça, je sais pas trop ce qui m’a pris. C’était comme si… Je… Je devais tout simplement le dire. »

Il n’avait pas commenté le fait qu’elle ne connaissait pas son père : qu’aurait-il dit ? ‘’Le mien est super, je m’entends très bien avec !’’ oui, bonne idée, voyons ! Pour changer les idées, il proposa alors à la belle de sortir boire un café ce soir. Il avait définitivement réussi, alors : elle accepta… En plaisantant sur le fait qu’il devrait se dépêcher de boire son chocolat chaud, pour éviter de tâcher son haut. Là, il éclata d’un petit rire, très mignon mais aussi pas très viril.

« Promis, promis, j’essaierai de me contrôler ! »

Il regarda l’heure à son portable. Bientôt l’heure de son prochain cours. Déjà ? Le temps passe trop vite, définitivement.

« Mince, j’ai déjà bientôt cours… Pfiou, c’est Latin, en plus… »

Avisant l’heure d’un dernier coup d’œil discret, il glissa, doucement, à l’attention de la charmante demoiselle devant lui.

« Quoique, la prof’ est toujours en retard. J’ai encore le temps. »

Grand sourire. Il n’aurait raté la moindre seconde de discussion pour rien au monde.

« Oh, tant que j’y pense… Voilà mon numéro. Pour que vous puissiez m’appeler. Pour ce soir. Ca sera plus pratique. Je crois. »

Il gribouilla une rapide série de chiffres sur un petit bout de papier qu’il arracha d’une feuille simple – désolé, mère Nature, mais le destin de la vie amoureuse d’Adam est en jeu, là ! –, et la tendit d’un sourire – il allait s’en décrocher la mâchoire, à ce rythme – à Emma.

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Adam & Emma

✖Rencontre Hollywoodienne....✖

La jeune femme se sentait bien en la compagnie du jeune homme. Serte, elle ne le connaissais que depuis aujourd'hui mais, elle avait l'impression qu'elle pouvait tout lui dire sur elle, bon pas tout non plus quand même, sinon il n'y a plus de mystère. Emma lui expliqua donc qu'elle venait d'Australie, le jeune homme avait l'air de s'intéresser aux autres pays, aux autres cultures ce qui était une bonne chose, mais également une chose rare de s'intéresser aux autres cultures. Puis, je ne serais vous dire pour qu'elle raison, quand la jeune femme lui expliqua qu'elle venait d'emménager en ville, elle lui parla donc de sa mère qui était décédée depuis peu de temps. Elle avait un peu même beaucoup cassé l'ambiance en parlant de cela.

- Ma mère aussi... Est morte. Elle a été assassiné. Sous mes yeux. Après un dîner de famille. Je me souviens encore des mots de mon psy à mon père... « Il ne pourra pas le voir, mais il pourra le sentir. Tous les jours, pour le reste de sa vie. Des ténèbres, autour de son cœur. Comme une cicatrice. »

A cette annonce, la jeune femme en resta bouche-bée. Elle ne savait pas quoi lui répondre, de toute façon que pouvait-elle bien lui dire sauf qu'elle était vraiment désolé. Elle n'allait pas lui dire « ma mère elle a eu plus de chance que la tienne, elle est simplement morte d'une maladie alors que la tienne a été assassiné. » ou sinon « Tu as de la chance, il te reste ton père, au moins. » C'était devenue glauque maintenant, en tout cas il fallait vite que la jeune femme trouve quelque chose à lui dire qui lui redonnerai le sourire.

- Je suis vraiment désolé pour vous. J'aurai peut être pas dû vous raconter mon histoire avec ma mère sans que ça vous fasses penser à la vôtre.

Lui dit-elle sincèrement suivit d'un sourire timide. En parlant avec lui, elle se rendait donc compte que comme elle, il n'avait pas de chance au niveau famille. Emma en avait tellement souffert, que normalement dans son habitude elle n'en aurait jamais parlé comme elle l'avait fait, avec quelqu'un qu'elle connaissait à peine.

- Wow... On a eu peu cassé l'ambiance. Désolé d'avoir dit tout ça, je sais pas trop ce qui m'a pris. C'était comme si... Je... Je devais tout simplement le dire.

La jeune femme boit quelques gorgées de son café qui était encore un peu chaud, elle ne pouvait pas supporter le café froid ou alors simplement à petite dose. Puis, elle releva la tête vers le jeune homme pour reprendre la parole.

- Non, non.. Vous inquiétez pas c'est rien. Enfin, non c'est pas rien ce qui vous es arrivé. Après tout c'est moi qui ai commencé à parler de ma mère, c'était peut être maladroit de ma part. En tout cas, ça me plaisir que vous vous confiez à moi même si on se connaît encore très peu.

Lui dit-elle suivit d'un sourire. C'est vraie qu'elle était contente qu'il lui dise ça. Bon peut être le dire plupart aurait était aussi bien, mais on ne peut pas remonter dans le temps sinon, Emma n'aurait pas commencé à parler de sa mère. Puis, ils changèrent de sujet, le jeune homme invita Emma a sortir, ce que cette derrière accepta. Il voulait l'inviter dans un café, ce qui l'avait plutôt fait sourire après la manière dont ils s'étaient rencontrés.

- Promis, promis, j'essaierai de me contrôler !

Cela fit rire la jeune femme. Ils ne se remarquèrent même pas qu'il était déjà l'heure d'aller à leurs prochains cours, c'est fou comme le temps passer à une de c'est vitesse.

- Mince, j'ai déjà bientôt cours... Pfiou, c'est latin, en plus...

La jeune femme regarda l'heure à son tour sur l'horloge qui était suspendue dans la cafét'. Elle avait même pas le courage de regarder sur son téléphone qui était simplement dans sa poche.

- Hm, moi aussi ! Moi aussi, j'ai cours, j'ai chimie.

Dit-elle sur un ton dépriment, Emma avait toujours eu en horreur la chimie, elle n'y comprenait absolument rien. Et encore moins que les maths, déjà que les maths était son point faible, la chimie s'était bien pire.

- Quoique, la prof' est toujours en retard. J'ai encore le temps.

La jeune femme se mit à sourire, elle avait toujours pour habitude d'arriver la plupart du temps en retard en cours et, ce cours là surtout ce cours là, ne ferait pas exception même si Emma était plutôt une fille du genre intello.

- Super, moi je suis pas du tout pressé pour aller en chimie et, comme la plupart du temps j'arrive en retard... Le prof ne s'en rendra même pas compte.

Et puis, après tout tant pis si elle aurait des ennuis, c'est pas un pauvre cours qui va changer toutes ses notes.

- Oh, tant que j'y pense... Voilà mon numéro. Pour que vous puissiez m'appeler. Pour ce soir. Ca sera plus pratique. Je crois.

Le jeune homme tendit un bout de papier avec son numéro de téléphone dessus à la jeune femme. Le jeune homme se mit à sourire, Emma attrapa le bout de papier, y jeta vite fait un coup d’œil avant de le ranger précieusement dans sa poche. Puis, la jeune femme lui sourit à son tour.

- Merci, merci beaucoup. Je pense effectivement que ça sera plus pratique pour se revoir.

Rencontre Hollywoodienne... × ft. Adam & Emma

Parle-lui donc, Emma, avant que sa conscience ne le ramène à la réalité – et le fasse réaliser qu’il ferait mieux de partir. Non pas te quitter, non : il ne le ferait pas, jamais. Il ne t’abandonnerait jamais derrière. Une vieille légende dit que l’être humain ne voit pas les Couleurs, qu’il ne distingue que quelques nuances de ‘couleurs’, trop vagues, imprécises et inexactes pour êtres appelées Couleurs. Toutefois, lorsqu’il rencontre son âme-sœur, son autre moitié, celui dont il fut séparé à la naissance, il se met à percevoir toutes les couleurs, toutes les nuances de couleurs. Et à cet instant bien précis, Adam était sûr de pouvoir distinguer et nommer la couleur de tes yeux, celle de tes cheveux peut-être aussi. ° Elle a une couleur unique, une couleur bien à elle. Tous les jours, on croise un nombre incalculable de personnes. Dans la rue, dans le bus, dans le train, dans le métro, partout. On ne s’attarde sur eux que quelques secondes, pour les plus chanceux. Et très vite, on oublie leur visage, on les oublie. On ne se rattache à eux que par quelques vagues souvenirs : ‘’mais si, il était grand’’, ‘’mais si, tu te souviens pas, le gars au pull vert ?’’. Mais certaines personnes… Nous marquent. Ils nous laissent une impression forte ; ils font fondre la glace d’Hiver autour de nos cœurs, par leur chaleur, une douce chaleur si unique et indescriptible, propre à chaque être humain. Les souvenirs s’effacent ; on oublie leurs vêtements, on oublie leur taille, mais il y a une chose que l’on oublie jamais : une couleur, leur couleur. On sourit, on détourne le regard lorsqu’on nous demande si on se souvient de cette personne, on répond un simple et vague ‘’Oui’’, alors qu’il y a tant à dire. Mais on se tait, on garde en nous tout ce qui nous vient à l’esprit. °
Alors, Adam, de quelle couleur est Emma ?
° Bleue. Emma est Bleue. Je ne sais pas pourquoi, alors qu’elle a les yeux d’un marron très sombre, entre le chocolat et l’ébène, alors que ses cheveux sont d’un châtain doré, mais… Le bleu est sa couleur. Celle à l’intérieure, celle de sa chaleur. °

[…]

Le silence était pesant, comme celui de l’attente d’un résultat, d’un examen. Adam n’aimait pas ça ; il aimait le Silence, parfois, relaxant, celui qui permet de faire taire les voix, celui qui permet de réfléchir, de distinguer les idées, mais il n’aimait pas ce silence. Ce silence de plomb, signe d’un malaise, signe de quelque chose qui se passait mal. Il voulait presque prendre la parole, mais ce fut Emma qui lui répondit en premier. Elle s’excusa – pourquoi ? Etait-elle en tort ? Celui de lui avoir fait penser à sa mère en parlant de la sienne. Non, il n’aimait pas ça, il n’aimait pas la justification d’Emma : elle ne devait pas avoir à réfléchir, à faire un tri ; elle devait être elle-même telle qu’elle était vraiment avec Adam. Il n’aimait pas les personnes non-spontanées : c’était la qualité qui lui plaisait le plus chez l’être humain. La capacité d’être original sans volonté de l’être, juste par volonté d’être soi, de faire parler le soi, son cœur, son intérieur. Il aimait ça.

« Non, ne vous excusez pas pour m’avoir parlé de vous, ne vous excusez pas pour avoir répondu à ma question. »

Autre silence, qu’il conclut en s’excusant d’avoir dit ça. Il n’appliquait pas ses propres conseils ; faites ce que je dis, pas ce que je fais. Il ne s’était jamais aimé, de toute façon : il se complaisait à observer les autres et les aimer, les imaginer faire des choses, imaginer être à sa place. Il ne s’était jamais imaginé, lui, tel qu’il était, physiquement, moralement, faire de grandes choses ; les héros de ses rêves étaient toujours une personne qui lui était étrangère, Autrui. Il ne s’était jamais aimé ; il n’était pas spontané comme il l’aurait aimé, il n’avait pas le corps ou la carrure de ceux qui l’impressionnaient et le rassuraient, il n’avait pas le Charisme de ces leaders, de ces chefs qui savent s’imposer à chaque action. Il voyait en Emma tout un tas de choses, toutes ces choses qu’il aimait, et que, par-dessus tout, il aimait adorer. Elle fit une petite gaffe, et se corrigea d’elle-même dans la seconde qui suivit. Il trouva ça très mignon ; elle était un peu maladroite, elle était un peu gaffeuse, elle était en ruines, elle était un si beau désastre.
Adam aussi.

‘’Chimie’’ ; elle était belle, l’alchimie entre les deux. Au vu de son ton, elle n’aimait pas vraiment la matière. Adam ne pouvait pas dire qu’il l’appréciait, lui aussi ; il était un Littéraire, après tout. Quoiqu’il avait toujours été doué dans toutes les matières scolaires ; ce qui lui importait peu, finalement. Il aurait aimé être un bon pianiste, un bon guitariste, avoir une belle voix, savoir écrire, … Oui, il aurait aimé savoir écrire : être de ces auteurs qui l’inspiraient tant ; être celui qui déclenchait une flamme chez un jeune adolescent, lisant pour la première fois ce qu’il appellerait « un bon livre ». Il aurait pu lui donner des cours, il y a quelques années, mais là… Il avait arrêté depuis trop longtemps, et il n’était certainement pas capable de l’aider. Il fit un petit sourire – entre le rictus en coin suivant une bonne blague, et celui un peu coquin et dragueur – lorsqu’il entendit Emma dire « super ». Oh, avait-elle envie, elle aussi, que cette situation dure encore un peu ?
Quels étaient les vers exacts, déjà ?

° Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices
Suspendez votre cours :
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours ! °

Ah, oui…

« ‘’Super’’… Vous aimez tant que ça ma compagnie ? » dit-il en plaisantant, lançant un petit rire – qui se voulait être mignon.

« Je n’aimerais pas vous mettre en retard, tout de même… Vous voulez que je vous raccompagne jusqu’à là-bas, peut-être ? C’est sûr ma route.. »

La dernière phrase ressemblait presque à une excuse ou une justification, comme si, autrement, il ne l’aurait pas raccompagné ; il avait qu’être un peu trop brusque et direct fermait parfois les portes qu’on voulait passer. Et puis…
Il savait aussi que son air un peu mignon gaffeur qui cherche toujours à se justifier plaisait à Emma. Il lui semblait presque qu’elle l’adorait, même.

« Disons-nous… 21h, ce soir ? » il la regarda droit dans les yeux, le petit sourire de tout à l’heure toujours pas effacé.

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Adam & Emma

✖Rencontre Hollywoodienne....✖

La jeune femme se sentait tout simplement bien. C'était rare quand elle venait à peine de rencontrer quelqu'un mais, avec Adam s'était différent, elle ne pouvait pas l'expliquer. En plus même s'il était maladroit, il avait de la conversation, on ne pouvait pas s'ennuyer avec lui, s'était toujours mouvementé à son avis. Le jeune homme n'avait pas l'air trop malheureux non plus en la compagnie d'Emma, tant mieux à moins que si mais, qu'il n'osait pas le dire. De toute façon les garçons s'étaient toujours trop compliqué, probablement qu'il devait se dire la même chose à propos des filles, tant pis. Quand la jolie brune lui parla de sa mère décédée depuis peu, elle ne s'attendait pas à ce que le jeune homme est à peu près vécu la même chose, lui aussi avait été conforté à la mort de sa mère. Sur le coup Emma se sentait un peu conne, et regrettait de lui en avoir parlait cela devait lui rappeler des souvenirs pas très agréable pour lui. Ainsi après que le jeune homme lui raconta son histoire par rapport à sa mère, Emma ne pût s'empêcher de s'excuser pour avoir abordé le sujet avec la sienne.

- Non, ne vous excusez pas pour m'avoir parlé de vous, ne vous excusez pas pour avoir répondu à ma question.

La jeune femme ne pût s'empêcher de sourire, s'était vraiment en garçons charmant, un mec en or. Il était vraiment gentil avec Emma, et je pense qu'elle le lui rendait bien. Même si elle le connaissait que depuis peu, elle l'appréciée déjà beaucoup, il était de bonne compagnie. Puis, avec le temps, les deux jeunes gens ne remarquèrent même pas que s'était déjà l'heure de leurs prochains cours. C'est le jeune homme qui le remarqua en premier, en pensant au cours qu'elle allait avoir la chimie, Emma n'était pas pressée, s'il y avait une matière qu'elle détesté c'était bien la chimie à côté les maths était que du bonheur. Le terme était peut être un peu même beaucoup exagéré même, si elle n'aimait pas ses deux matières, elle préférai quand même largement les maths à la chimie. Le jeune homme lui expliqua donc qu'il avait encore un peu de temps devant lui, vu que sa prof était toujours en retard en cours, Emma lui expliqua donc qu'elle non plus n'était pas pressé pour ce cours.

- "Super"... Vous aimez tant que ça ma compagnie ?

La question du jeune homme fit sourire la jeune femme, Adam se mit à sourire. Il lui avait probablement dit cela en plaisantant mais, il fallait avouer que sa compagnie n'était pas désagréable pour la jolie brune, et s'était plus appréciable qu'un cours de chimie alors elle pouvait lui répondre franchement sans être gêné ou quoique se soit.

- Pour tout vous avouez, oui, votre compagnie mets pas désagréable, bien au contraire... C'est mieux d'être avec vous qu'en cours en tout cas.

Lui dit-elle sincèrement, il pouvait pensait ce qu'il voulait d'elle peut importe maintenant s'était dit. Elle ne voulait pas paraître pour une allumeuse ou quoique se soit devant le jeune homme mais, elle était simplement bien avec lui, et je ne vois pas pourquoi elle s'en cacherai. Emma était une fille qui n'avait pas froid aux yeux n'ayant peur de rien, bon pratiquement rien après tout s'était une fille, une fille avait quand même toujours peur de quelque chose.

- Je n'aimerais pas vous mettre en retard, tout de même... Vous voulez que je vous raccompagne jusqu'à là-bas, peut être ? C'est sur ma route..

Emma se mit à sourire, elle commença donc à se lever de son siège. Elle se dirigea donc vers la poubelle pour pouvoir y déposer son gobelet de café vide avant de se retourner vers le jeune homme toujours le sourire aux lèvres.

- Avec plaisir, oui. C'est très gentil de votre part.

Même si la jeune femme connaissait les recoins du lycée, qu'elle le connaissait sur le bout de ses doigts, s'était une invitation qu'elle ne pouvait pas refuser de la part du jeune homme.

- Disons-nous... 21h, ce soir ?

Emma avait les yeux qui pétillaient quand elle avait son regard qui était plongé dans celui du jeune homme, elle ne se préoccupé pas du monde qui les entourait. Elle avait l'impression qu'ils étaient simplement seul tout les deux.

- C'est parfait.

Lui dit-elle en s'avançant vers la sortie de la cafét pour rejoindre son cours de chimie.

Rencontre Hollywoodienne... × ft. Adam & Emma

La demoiselle sourit lorsqu’il se mit à plaisanter sur la joie qu’elle avait démontré dès qu’il lui avait proposé de la raccompagner. Il en était heureux plus qu’amusé, à vrai dire. Non pas qu’il s’imaginait des choses – bon, si, d’accord – mais il était plus que fier de voir les réactions qu’il causait à la demoiselle. C’était bon signe, après tout. Même après ce qu’ils venaient tout juste de se dire – la mort de leurs mères respectives, ils restaient pleins de joie et d’entrain. C’était certainement grâce à la présence d’Emma qu’il parvenait à rester si calme. D’habitude, il serait déjà en train de pleurer en pensant à sa mère, ou il serait en plein crise d’angoisse, essayant de penser à autre chose. La réponse de la demoiselle lui fit encore plus plaisir, en vérité : elle lui avouait clairement qu’elle appréciait beaucoup sa compagnie. Wouhou, grand pas en avant ! La dernière personne qui lui avait dit ça était Scarlett, sa meilleure amie restée à la Nouvelle-Orléans. Et, à bien y réfléchir, jusqu’à Emma, c’était la seule personne lui ayant adressé ces mots. Il se disait malgré tout de ne pas s’emballer, de ne pas penser que tout ce qu’il ressentait était réciproque – que ressentait-il, déjà ? Il ne la connaissait que depuis une petite demi-heure. Mais c’était déjà bien suffisant pour savoir qu’elle faisait partie de cette catégorie de personnes qu’il voulait à ses côtés. Et lui, pour elle ? Il était tout à fait basique, un peu maladroit et empoté ; elle semblait être la bonne élève magnifique qui attirait tout le monde du regard. Qu’était-il, pour elle ? Une rencontre d’une journée ? Il n’espérait pas – à cette simple pensée, son cœur se tordait de douleur, et il se souvenait qu’il était de nature anxieuse.

« La votre m’est très agréable aussi, en fait… Vous avez égayé ma journée. »

Il vit Emma se lever et jeter son gobelet : même pour un geste si anodin, elle avait une grâce féline sans pareille. Princesse Sauvage. Elle ne lui avait pas encore donné sa réponse ; était-ce un oui ? Au vu de son sourire d’avant, cela y ressemblait fortement. Un sourire aux lèvres, elle lui répondit qu’elle acceptait avec plaisir. Il sourit à son tour, de soulagement. Un sourire un peu trop évident à ses yeux ; et si elle s’imaginait quelque chose ? Enfin, techniquement, elle devait s’imaginer quelque chose, puisqu’il voulait que quelque chose arrive. Mais il se disait qu’il était peut-être un peu trop tôt. Et s’il lui faisait peur ? Hey, Adam, tu l’as bien regardé ? Si quelqu’un devait avoir peur, ça serait toi : Emma pourrait complètement te dévorer avant même que tu ne t’en rendes compte. Il sourit à cette pensée ; bien qu’elle semblait toute innocente et douce, il était sûr qu’elle était plus forte qu’elle n’y paraissait. Forte était peut-être un faible mot, elle avait survécu à la mort de sa mère. Elle était forte, évidemment. Quel mot pouvait convenir, alors ? ‘’Plus animale’’, se dit-il alors. Peut-être était-elle sauvage même en dehors de son apparence ; même dans son caractère. Ce serait drôle de le découvrir, tiens…

« Mais de rien ! C’est normal, après tout. C’est pour la tâche. » dit-il, un sourire gêné au visage. Adorable.

Elle assura qu’elle serait prête pour 21h ce soir. Parfait. Cette journée serait définitivement inoubliable. Devait-il rester habillé de la même façon pour ce soir ? Il portait une simple chemise avec un T-shirt et un jean, quelque chose de très classique, pas de quoi l’impressionner. Mais s’il se changeait, elle pouvait aussi se dire que, définitivement, il voulait plus que partager un café avec elle. Damned. C’était décidé : il allait rester comme ça. De toute façon, il l’avait charmé comme ça, non ? Quoique charmer pouvait être un grand mot… Elle avait juste échangé quelques mots et accepté de partager un café en sa compagnie. Pas de quoi en faire toute une histoire, n’est-ce-pas ?
Il se leva et jeta son chocolat chaud à la poubelle, et emboita le pas d’Emma. Elle avait un sourire et un regard très mignon à cet instant bien précis ; plein d’étoiles et de joie. Cela le rassura un peu intérieurement. Et puis, cela le fit aussi fondre. Elle était vraiment adorable. Les yeux d’Emma dévoraient les siens, et le sourire qu’elle lui adressait le forçait à sourire lui aussi. Il avait presque envie de la prendre par la main et de la mener jusqu’à chez sa voiture, qu’ils partent très loin de l’Université, mais c’était peut-être un peu prématuré.

« Je viendrais vous chercher chez vous, alors ! Il faudra que je range ma voiture… » dit-il avec un petit rire gêné à la fin de sa phrase.

Ils quittèrent ensemble la cafétéria, sous le regard bienveillant de la serveuse qui les trouvait certainement très mignons ensemble. Il savait où se trouvait la salle de Chimie : trop proche, de toute évidence. Il voulait lui parler… Mais que pouvait-il lui dire ? A la cafétéria, il avait eu la langue bien pendue et pouvait improviser des petites blagues pas très drôles pour la faire sourire. Mais là… Son cerveau était complètement vide. Il ne voulait pas terminer la journée par un long blanc jusqu’à ce qu’il l’ait emmené jusqu’à sa salle, non… Il passa sa main sur son cou et dans ses cheveux ; tic nerveux qu’il avait dès qu’il était un peu stressé.

« Le Mystic Grill, ça vous va, au fait, pour ce soir ? Vous connaissez ? »

Super, Adam, bravo. Super sujet de conversation… Enfin, c’était déjà ça.

« Vous avez cours, demain ? Et vous habitez où ? »

Et c’est là qu’il osa poser la question qui le taquinait depuis qu’il l’avait rencontrée.

« Et… Cela vous gêne si on se tutoie ? »

Il trouvait ça plus convivial… Et trouvait que le vouvoiement les séparait un peu.

« Si ça vous dérange dites-le surtout c’est parce que je trouve ça un peu plus convivial vu qu’on a le même âge et que enfin voilà… »

Retour au premier Adam, celui qui avait peur de dire un mot. En même temps, il avait fait un grand pas en avant… Peut-être trop grand pour lui.

Ils allaient bientôt se quitter, il trouvait ça triste…

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Adam & Emma

✖Rencontre Hollywoodienne....✖

Salade, Emma ne racontait jamais de salade où presque pas sauf si cela pouvait lui apporter quelque chose de positif, maintenant qu’elle venait de lui avouer qu’elle était bien en sa compagnie, la jeune femme pensait que le jeune homme aussi était bien en sa compagnie, enfin c’est ce qu’elle espérait sinon, tant pis pour elle. Finalement cette tâche de chocolat, elle n’y pensais plus trop, et cela avait été une bonne chose puisque finalement ils allaient se revoir le soir même.

- La votre m’est très agréable aussi, en fait… Vous avez égayé ma journée.

La jeune femme fût plutôt rassurée par cette nouvelle ce qui la fit sourire, le jeune homme était charmant avec la jeune femme même s’il était un peu maladroit par moment, Emma trouvait cela mignon au final. Ainsi comme il était déjà l’heure de retourner en cours, la jeune femme se leva pour repartir, déposa son gobelet dans la poubelle, le jeune homme fit de même quelques secondes après elle. Puis, ils quittèrent ensemble la cafeteria, le jeune homme voulait accompagner la jolie brune jusqu’à sa classe ce que cette dernière accepta, elle n’avait pas de raison de refuser, et puis cela lui permettait de passer encore un moment avec lui-même, s’il allait être plutôt court.

- Je viendrais vous chercher chez vous, alors ! Il faudra que je range ma voiture…

La jeune femme échappa un petit rire, ranger la voiture, le jeune homme voulait que tout soit parfait, et simplement qu’il voulait aussi faire bonne impression à la jeune femme pour cette soirée. Quoique la jeune femme aussi voulait lui faire bonne impression même, si elle avait remarqué qu’elle lui avait fait une bonne impression au cours de leurs nombreuses discussions passées.

- D’accord. Vous inquiétez pas pour la voiture, ce n’ai rien.

Lui dit-elle, elle ne voulait pas qu’il passe des heures à ranger sa voiture rien que pour elle. Cela n’était pas la peine de donner tant de mal, il aurait probablement mieux à faire que cela. Heureusement que le jeune homme viendra la chercher parce que étant arrivée que depuis peu à Mystic Falls, Emma connaissait que près peu la ville. Elle avait à peu visiter la ville mais, bon comme elle la trouvait déjà bien assez grande, elle avait bien peur de se perdre toute seule.

- Le Mystic Grill, ça vous va, au fait, pour ce soir ? Vous connaissez ?

Cela fit sourire Emma, il avait probablement choisi ce lieu par hasard, et Emma le connaissait très bien, plutôt marrant comme coïncidence. C’était là-bas qu’elle avait fait la connaissance de sa meilleure amie, Hayley Marshall, et elle avait pour habitude d’y aller de temps en temps, alors oui elle connaissait déjà pas mal ce lieu de la ville.

- Oui, je connais. J’y suis déjà allé plusieurs fois, et je dois avouer que c’est un endroit très sympa.

Lui dit-elle suivit d’un sourire. Ils arrivèrent quasiment au bout du couloir où se trouvait la salle de chimie où Emma y avait cours.

- Vous avez cours, demain ? Et vous habitez où ?

Effectivement, cela était plus simple pour venir la chercher que de savoir où elle habitait. La jeune femme réfléchis quelques instants, elle savait qu’elle avait cours le lendemain, le jeune homme aussi probablement, je pensais mais, il lui semblait pas que j’étais de bonne heure alors ça va.

- Oui mais, en fin de matinée. Vous aussi vous avez cours, non ? Hm j’habite au 15ème en centre-ville.

Lui dit-elle suivit d’un sourire. Emme trouvait que je jeune homme avait des yeux vraiment magnifiques même, s’ils étaient d’une couleur très répandue, il était très beau. La jeune femme aimait plonger les yeux dans les siens, et quand le jeune homme la regardait dans les yeux, cette dernière était perturbée, elle ne faisait plus attention aux autres.

- Et… Cela vous gêne si on se tutoie ?
- Si ça vous dérange dites-le surtout c’est parce que je trouve ça un peu plus convivial vu qu’on a le même âge et que enfin voilà…

Effectivement, la jeune femme trouvait cela meilleure, ils n’allaient pas passer 500 ans à se vouvoyer. Ils devaient être à peu près du même âge en plus alors, alors cela serait préférable surtout pour des jeunes gens comme eux. La jeune femme se mit à sourire avant de répondre.

- Bien sûr, il n’y a aucun problème, ce sera avec plaisir… En tout cas, merci de m’avoir raccompagnée jusqu’ici. A ce soir.

Lui dit-elle sur une pointe de tristesse étant enfin arrivée devant la porte de chimie, avant d’entrer dans la salle en laissant le jeune homme seul à présent.

Spoiler:

» wolves without teeth | ft. Emma
» Le coeur d'une femme est un océan de secret ▲ Emma Chamberlain
» Tu n'es qu'un pion - Emma
» "You're supposed to be somewhere else" > Adrian & Emma
» "Don't cry in your drink" - Thomas & Emma