I don't want to kiss anyone. I don't want to kiss anyone but you. I fucking love you. | Maxx & Maxine

I don't want to kiss anyone. I don't want to kiss anyone but you. I fucking love you.

L'hôtesse annonçait l'arrivée de l'avion à l'aéroport, après un long trajet depuis la Nouvelle-Orléans. J'avais pu me reposer un peu et dormir, il fallait avouer que j'avais eu une longue journée de travail et que je pouvais enfin jouir d'un petit moment de répit. Malheureusement il avait été de courte durée, entre l'embarquement et mon voisin loquasse. J'avais enfilé un casque pour mettre de la musique et m'étais laissée embarquer dans les bras de Morphée une bonne partie du voyage.

Lorsque la jeune femme me réveilla à travers les enceintes de l'appareil, il faisait désormais bien nuit et je n'étais plus loin de l'aéroport le plus proche de Mystic Falls. Je n'y avais jamais mis les pieds, je ne savais pas à quoi cette ville pouvait ressembler, mais d'après Maxx, c'était assez... Rurale dans l'ensemble. Le climat n'était définitivement pas le même non plus, je m'en rendis compte en voyant des gouttelettes perler le long du hublot à ma gauche. Je soupirais, voilà un séjour qui s'annonçait maussade.

J'avais rassemblé le peu d'affaires que j'avais en bagage à main et étais partie me brosser les dents avec le mini-tube de dentifrice que j'avais réussi à cacher dans un de mes pulls. C'était un tube spécial voyage, je ne voulais pas arriver devant l'amour de ma vie avec une haleine d'endormie. Certes dans un couple, on n'est plus censés faire attention ou protester à ce sujet, mais je voulais continuer à maintenir une certaine hygiène entre nous, quoiqu'il advienne. Et puis c'était plus agréable de se sentir fraîche.

Après tout ceci, nous atterrissions enfin, j'allais pouvoir aspirer de l'air frais, mais aussi me prendre une pluie battante sur le visage. La joie des aéroports. Maxx devait m'attendre à l'intérieur, il était venu en voiture me chercher. Peut-être que j'allais enfin rencontrer sa grande sœur, puisqu'elle vivait à Mystic Falls aussi. J'appréhendais beaucoup cette rencontre puisque je n'avais encore jamais pu rencontrer la famille de mon fiancé. Mais nous n'étions même pas encore là puisque je débarquais seulement de l'appareil.

Je récupérais à la hâte la valise contenant une bonne partie de ma garde-robe, j'avais prévu de rester dans cette campagne plusieurs jours, voire semaines. Le temps que ma mutation soit acceptée et définitive. En attendant je profitais de mon temps libre avec Maxx, il m'avait énormément manqué. Et mes crises de jalousie ne lui avait peut-être pas manquée... Mais ce n'était pas vraiment de ma faute, c'était de sa faute à lui s'il appréciait d'être désiré par toutes ces femmes. Je n'y pouvais rien si je ne supportais pas de les voir se languir de lui. Il ne m'avait jamais été infidèle mais je redoutais cette fameuse histoire de coup de foudre. Sauf que ça, il ne le savait pas.

Mon Maxx. Je traînais derrière moi ma valise à roulettes, mais je ne le voyais pas. Je fronçais les sourcils et regardais un peu partout, à la recherche du brun. Je ne le voyais toujours pas. Je m'approchais de la sortie pour voir à l'extérieur, et je le voyais venir, sous la pluie. Il marchait tranquillement, un sourire éclaira mon visage, et tant pis pour la pluie. Je trottinais jusqu'à la sortie et sortais de l'aéroport, valise derrière moi. Je commençais à presque courir, heureuse de le revoir. J'allais être trempée, mais je m'en fichais, je me jetais dans ses bras à corps perdu. Je le serrais contre moi comme si ma vie en dépendait, et je déposais mes lèvres sur les siennes. Tous ces contacts m'avaient énormément manqué, et j'avais comme l'impression de renaître. C'était durant ce genre de moment que je savais que j'avais rencontré le bon et que je ne me voyais avec personne d'autres. Du haut de mes 19 ans j'étais déjà fiancée certes, mais pour mon plus grand bonheur. Je le laissais respirer et plongeais mon regard dans le sien.

« Tu m'as tellement manqué... »

La pluie nous tombait dessus mais ça ne me faisait rien, je m'en fichais, tant que j'étais avec lui, tout le reste pouvait aller se faire voir de la manière la moins cordiale qui soit. Je profitais de mes retrouvailles avec Maxx. Mon loup-garou à moi.

crackle bones

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La vie à Mystic Falls, la pluie, la campagne...j'avais fini par m'y habituer.. Je vivais avec ma sœur et sa colocataire qui d'ailleurs avait de plus en plus de mal à cacher qu'elle craquait pour moi, je continuais à travailler au même rythme qu'avant, en somme tout allait bien, en apparence.
Pourtant si il fallait être honnête, le fait d'avoir coupé les ponts avec mes parents et de ne plus pouvoir voir régulièrement ma fiancée commençait à être compliqué à gérer, même si je le cachais du mieux que je pouvais.
Autant pour mes parents je ne pouvais rien faire, chaque discussion se finissant en hurlements et échanges de noms d'oiseaux, autant pour Maxine, les choses avaient été beaucoup plus simples. Elle avait bien compris la raison de ma fuite, et s'était débrouillée pour pouvoir me rejoindre au plus vite, autrement dit, aujourd'hui.

J'avais passé la journée avec un sourire stupide qui refusait de quitter mes lèvres, désespérant même les photographes qui voulaient que je prenne l'air inspiré-romantique-dépressif habituel des mannequins, mais même ça je m'en foutais, j'allais revoir Maxine, et c'était tout ce qui comptait.
Toutes les 5 minutes je relisais son message, persuadé d'avoir oublié son heure et son lieu d'arrivée alors qu'objectivement après avoir lu cent fois le même texte j'étais capable de le réciter mot pour mot de mémoire. L'amour rendait désespérant, parfois.

« Maxx ! »


Je sursautais presque, relevant la tête de mon téléphone pour tomber nez à nez avec mon agent.

"Mouais ?"

C'était dingue toute la motivation qui pouvait transparaître dans ma voix quand j'avais affaire à ce type là.

« Ça va pas le faire aujourd'hui, je me fous de savoir ce qu'il se passe dans ta vie mais t'es clairement ailleurs. Rentre chez toi, on reprogrammera une séance plus tard dans la semaine »

Il ne fallait pas me le répéter deux fois, après un vague grognement qui aurait tout aussi bien pu signifier « merci », que « d'accord », je pris mes affaires et retournai à ma voiture. Dehors il commençait à pleuvoir mais même le climat désastreux de Mysic Falls ne pouvait pas détruire ma bonne humeur. Sans attendre, je pris la route de l'aéroport, espérant ne pas être en retard.

Je me garai près de l'entrée et sortis tranquillement, la pluie me tombait dessus mais je n'y prêtais aucune attention, surtout que je venais de voir Maxine courir vers moi, mon regard s'illumina et je la réceptionnais dans mes bras, mes lèvres rejoignant les siennes dans un baiser passionné où pouvait se lire tout notre amour, et tout le manque qui nous avait torturé durant notre courte séparation.

Nos lèvres finirent pas se séparer et nos yeux par se rencontrer, elle me disait que je lui avais manqué et je la serrais dans mes bras un peu plus fort.

« Tu m'as manqué aussi Maxine »

Je caressai sa joue du bout du doigt, tout en douceur

« Tu vas bien ? Ça été ton voyage ? »

Des phrases peut être banales pour la plupart des gens mais que moi, je ne prononçais que rarement, souvent bien plus préoccupé par ma propre personne que par les autres. Il n'y avait que pour Maxine que je changeais du tout au tout.

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L'avion avait atterrit, je cherchais du regard Maxx dans l'aéroport mais je ne le trouvais pas. Il n'était peut-être pas arrivé, alors je pris la peine de sortir, il était peut-être dehors. D'un regard, je le repérais. Une vague de chaleur m'envahit, malgré la pluie, je courrais vers lui, traînant ma valise derrière moi. Je me jetais dans ses bras et venais lier nos lèvres. Il me réceptionna et me serra dans ses bras, me rendant avec passion mon baiser, pour moi, il n'y avait plus que nous sur la planète, plus rien n'était autour de nous, la pluie ne changeait rien, je me fichais complètement d'être trempée. J'avais juste l'impression de revivre. Peu importe ce que les gens pensaient de nous, tout ce qui comptait c'était lui. Lui, lui, lui.

Nous détachions nos lèvres, je reprenais ma respiration et plongeais mon regard dans le sien. Ses yeux sombres m'avaient manqué, tout m'avait manqué chez lui, et j'espérais pouvoir rattraper le temps perdu. J'avais bien compris les raisons qui l'avait poussé à tout quitter et rejoindre sa sœur, je n'y avais même pas opposé de résistance. J'avais simplement compris. Je n'avais pas hésité, je voulais à tout prix le rejoindre, tant pis si ma famille n'adhérait pas à ma décision. Je n'étais pas majeure pourtant, mais ça ne faisait rien. Ils n'avaient qu'à me renier de la famille.

« Tu m'as manqué aussi Maxine. »

Je souriais, j'avais envie de rester comme ça toute la vie, je ne voulais voir personne. L'eau dégoulinait sur nos visages, Maxx me caressa la joue du bout des doigts, comme s'il me redécouvrait. Je ne pouvais détourner le regard, d'autant plus que l'entendre me dire ça me touchait profondément. Il n'était pas du genre à s'occuper des autres, à parler ouvertement de ce qu'il ressentait, j'étais l'une des rares personnes à qui il acceptait de se montrer tel qu'il était.

« Tu vas bien ? Ça été ton voyage ? »

Qu'est-ce que je disais ? Il n'était pas du genre à faire attention aux autres, je l'avais connu comme tel, narcissique, ne se préoccupant que de lui et de sa petite personne. Bien sûr les choses avaient très bien évoluées pour nous et j'en étais ravie, mais je savais que cette partie de lui était toujours là, notamment quand je n'étais pas dans les parages. C'était bien pour ça qu'il m'arrivait de plaindre son manager qui devait être chauve à cause de Maxx et non pas à cause de sa calvitie. J'essuyais un peu d'eau sur son visage en souriant, il allait finir par se noyer le pauvre.

« Voyage un peu long, surtout que mon voisin a commencé à me faire un récit détaillé de son dernier voyage en avion... J'ai préféré mettre de la musique et je me suis endormie. Et je vais bien.»

Bien sûr j'évitais bien gentiment de lui parler des regards assommants que ce fameux voisin m'avait lancé. J'avais été mal à l'aise de m'endormir devant lui mais j'étais trop épuisée par le travail pour tenir plus longtemps. D'autant plus que je ne voulais pas arriver ici pour m'endormir comme une souche, je voulais profiter de Maxx et... De nos retrouvailles. Toute la nuit.

« Et toi alors ? Parle moi de Mystic Falls, de tout ce que tu fais depuis que tu es arrivé. »

Sous-entendu : je veux savoir si des filles te traînent autour ou non en ce moment, et si je vais devoir exterminer la population féminine de cette ville. J'exagérais évidemment, mais je n'aimais vraiment pas que des femmes tournent autour de mon Maxx. Moi j’arborais toujours fièrement la bague de fiançailles qu'il m'avait offert, je voulais que lui seul soit capable de me séduire, et soit en droit surtout. Cependant il commençait à vraiment pleuvoir et je me disais qu'il était peut-être temps de rentrer à l'intérieur de la voiture, je comptais passer ma nuit à faire autre chose qu'éternuer toutes les cinq minutes...

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Kissing her, after all this time, was a kind of salvation...La pluie ne cessait de nous tomber dessus, dégoulinant sur mon visage, trempant nos lèvres encore unies mais je n'y prêtais pas vraiment attention, tout ce qui comptait c'était elle, seulement elle, moi si narcissique, égocentrique...Si on m'avait dit qu'un jour je manifesterais ne serait-ce qu'un peu d'intérêt pour quelqu'un d'autre que moi-même j'aurais juste ris devant l'absurdité de cette déclaration et pourtant c'était bien moi qui venait de demander à Maxine si son voyage s'était bien passé et si elle allait bien, pas seulement par politesse, parce que j'étais vraiment intéressé par ses réponses, parce que je l'aimais tout simplement.

« Voyage un peu long, surtout que mon voisin a commencé à me faire un récit détaillé de son dernier voyage en avion... J'ai préféré mettre de la musique et je me suis endormie. Et je vais bien.»

Je fronçais légèrement les sourcils en l'entendant me parler de son voisin, je détestais que les autres hommes lui adressent la parole, même pour lui raconter un voyage en avion, parce que je n'étais pas con, à  l'exception des gay, et encore, chaque homme qui approchait Maxine avait forcément une autre idée derrière la tête, et c'était ma fiancée, j'avais souvent envie de les frapper mais pour cette fois je pris sur moi, retenant ma jalousie et mes réflexions, je venais de la retrouver, le côté loup-garou, mâle, possessif, chiant pouvait bien se taire encore quelques instants, le principal était qu'elle allait bien, c'était tout ce qui m'importait.

« Et toi alors ? Parle moi de Mystic Falls, de tout ce que tu fais depuis que tu es arrivé. »

Je m'apprêtais à répondre mais je me rappelais que Maxine n'était pas une louve et que, contrairement à moi qui ne craignait rien, elle risquait de tomber malade à force de rester sous la pluie comme ça, alors je glissais doucement ma main dans la sienne, l'entraînant vers la voiture.

« Viens, je te répondrai une fois au chaud. »

Une fois tous les deux dans la voiture, j'augmentais le chauffage et lui tendis la veste que j'avais dû porter au shooting d'aujourd'hui, qui était sèche, elle.
Encore le genre de petites attentions qui étaient surprenantes  venant de moi, même après un an de relation.

« J'ai pas fait grand chose depuis mon arrivée en fait, déjà il y a eu la pleine lune donc pendant une semaine j'ai pas pu bouger alors que mon agent me cassait les couilles pour que j'aille à Naples en même temps, puis après ça je me suis surtout engueulé avec mes parents, rien de bien extraordinaire tu vois »

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Maxx s'inquiétait pour moi, même s'il n'y avait pas toujours de quoi, je me montrais sans arrêt reconnaissante des efforts qu'il faisait pour moi, pour nous. Je l'avais connu lors de sa période égocentrique, enfin, il l'était toujours mais pas avec moi, et je savais que lorsqu'il en venait à simplement me demander comment s'était passé mon vol alors que mes propres parents se fichaient pas mal de savoir où je vivais, c'était qu'il se montrait vraiment protecteur. Je lui racontais brièvement mon vol, et ne loupais en aucun cas le petit froncement de sourcils lorsque j'évoquais mon voisin de siège dans l'avion. Ce que j'aimais le plus dans les "défauts" de Maxx ? Sa possessivité. J'adorais ça. J'adorais qu'il me rappelle que j'étais à lui, et à personne d'autre. Je souriais doucement, attendrie et amusée par sa réaction, lui demandais comment il allait, et de me parler de la ville dans laquelle j'allais devoir vivre durant un certain temps.

« Viens, je te répondrai une fois au chaud. »

Il n'avait pas tort, je commençais à ressentir le froid sur mes bras dénudés, à la Nouvelle-Orléans il faisait plus chaud qu'ici. D'ailleurs, ce n'était même pas Mystic Falls mais Whitmore, la ville possédant un aéroport la plus proche du coin paumé dans lequel s'était établi Maxx. Mais à en juger par tous les événements qu'il y avait pu y avoir dans cette ville, je savais qu'il s'y sentirait presque comme chez lui. De la forêt partout, des choses naturelles se passant pratiquement tous les jours... Pour autant je n'étais pas rassurée. J'étais humaine après tout, je ne guérissais pas, je n'étais pas hermétique à la maladie, ni rien de tout ceci... Nous entrions dans la voiture après avoir mis mes bagages dans le coffre. Maxx, toujours aussi prévoyant, attrapa une veste sur la banquette arrière et me la tendit. C'était une veste sèche, qu'il n'avait pas dans son armoire... Il devait probablement l'avoir récupérée d'un shooting. Je l'enfilais en lui souriant et l'écoutais enfin.

« J'ai pas fait grand chose depuis mon arrivée en fait, déjà il y a eu la pleine lune donc pendant une semaine j'ai pas pu bouger alors que mon agent me cassait les couilles pour que j'aille à Naples en même temps, puis après ça je me suis surtout engueulé avec mes parents, rien de bien extraordinaire tu vois. »

La routine pour lui. Mais une routine pesante j'en avais bien conscience... Je pinçais les lèvres et penchais doucement la tête. Je savais que la relation avec ses parents était devenue encore plus conflictuelle depuis qu'il avait quitté sa meute. Ce n'était pas dérangeant pour son travail, seulement, si j'avais bien tout saisi, il y avait une hiérarchie à respecter dans une meute de loups... Connaissant Maxx, il devait plus en rire qu'autre chose. Quant à son agent, c'était un véritable numéro celui-ci. Aller à Naples... Des fois il lui demandait carrément de traverser le monde entier pour simplement faire quelques poses devant l'objectif avant de revenir en Amérique. Je stressais énormément dans ce genre de moment... Je ne l'avais pas à l’œil, je ne pouvais pas surveiller toutes les femmes en rûte qui s'approchaient de lui, ça me rendait dingue.

Et rien que d'y penser, j'allais le devenir. Mon instinct me poussa à faire quelque chose qu'on avait souvent fait lui et moi, mais j'adorais trop ça pour arrêter. En plus nous étions en pleine nuit et il y avait très peu de monde alors j'en profitais. Je poussais un léger grognement mécontent et venais m'asseoir à cheval sur lui, face à face. J'étais collée à lui à cause du volant dans mon dos, alors si des gens nous voyaient comme ça, ils risquaient de se faire tout un tas d'idées. Rien à faire, les feux étaient éteint, il n'y avait pas de lumière au plafonnier, je passais mes bras autour de son cou.

« Il était temps que j'arrive alors. Tu as rencontré des filles ici ? »

Je ne changerais jamais. Je le regardais d'un air suspicieux, je voulais savoir la vérité, et Maxx ne pouvait pas me mentir à moi. La jalousie était un vilain défaut... Entre nous c'était une habitude, et ça ne nous dérangeait pas, bien au contraire.  

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