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 Take another walk out of your fake world - Aaron Barker

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MessageSujet: Take another walk out of your fake world - Aaron Barker   Take another walk out of your fake world - Aaron Barker I_icon_minitimeLun 16 Mai - 17:40


Aaron Barker

« Feat. Matthew Daddario »




Who I Am

† Espèce : Vampire † Âge : 56 ans (27 années physiques) † Date et lieu de naissance : 20 février 1960, Londres † Nationalité : Anglaise † Côté coeur : Célibataire † Orientation sexuelle : Hétérosexuel † Métier : Uniquement des petits boulots.

† Caractère :

Cérébral : C’est ce qui l’a toujours différencié (et distancié) des autres, et ce depuis sa plus tendre enfance. Probablement surdoué, mais jamais diagnostiqué, ce qui pourrait expliquer en partie sa difficulté à s’ouvrir aux autres. Pour autant, il n’en souffre pas spécialement, ne supportant pas la débilité chez les autres, tare rédhibitoire pour faire partie de son cercle proche, au même titre que l’égoïsme ou l’hypocrisie. Une dernière chose : il analyse tout, tout le temps. C’est parfois pratique, souvent chiant, toujours épuisant.

Exigeant : Vraiment très peu de personnes trouvent grâce à ses yeux. De nature plutôt solitaire, il n’a pas besoin d’être entouré à tout prix, ce qui lui permet de se montrer extrêmement sélectif dans ses relations. C’est un extrémiste du « mieux vaut être seul que mal accompagné ». En revanche, quand il apprécie quelqu’un, ce n’est pas à moitié, il est alors extrêmement attentionné et fait passer l’autre avant lui.

Protecteur : Il a déjà tout perdu une fois, il n’entend pas que cela se reproduise. Et comme il n’est pas vraiment effrayé par les conséquences potentielles de ses actes, il est plutôt du genre prêt à tout pour protéger les personnes qu’il apprécie. D’ailleurs, quelle plus belle apothéose qu’un dernier acte de bravoure désespéré, hein ?

Taciturne : Si vous comptez sur lui pour faire la discussion, vous raconter sa vie ou mettre l’ambiance en dansant à poil sur le comptoir, vous perdez votre temps. Lui est plutôt du genre observateur, m’voyez ? En général, il ne parle que quand il a quelque chose à dire et dans un style assez laconique. En même temps c’est assez reposant, vous verrez.

Rêveur : Ou plutôt déconnecté du réel, on ne peut pas à proprement parler de « rêves » dans son cas. Quand vous le croisez il n’est pas rare qu’il semble perdu dans ses pensées. Il vit dans sa tête, comme il aime à le dire. C’est sa façon à lui de gérer son passé. Il aurait pu devenir aigri, violent, il a préféré se construire des remparts mentaux et s’y réfugier en cas de besoin.

Cynique : S’il l’était déjà de nature au sens classique du terme, il l’est devenu encore plus suite aux événements ayant marqués la fin de son existence humaine. Il croit profondément en l’absurdité pure et simple de l’existence, en son côté futile et ne place que peu d’espoir dans l’humanité en général. Pour lui les gens qui pensent pouvoir changer le monde sont des doux rêveurs qui se bercent d’illusions.


This is my story

† Histoire :
Je suis né le 20 février 1960 dans une banlieue ouvrière de Londres, de parents non moins ouvriers. Comme toutes les personnes appartenant à cette classe sociale, leur vie entière tournait autour d’un seul objectif : s’assurer que leur progéniture ait un meilleur travail que le leur, meilleur étant bien entendu pour eux synonyme de « mieux payé ». Je serai donc ingénieur, avocat ou médecin. J’en avais les capacités, pourquoi en serait-il autrement ? Afin de mener à bien le Grand Projet de leur Existence ils se montraient ultra-protecteurs, castrateurs même. Rien ne les effrayait davantage que la possibilité qu’une mauvaise fréquentation m’écarte du droit chemin qu’ils avaient tracé pour moi.

Ma scolarité se passa sans encombre jusqu’à ce que j’intègre l’université. Mes résultats avaient toujours été excellents et je n’avais que l’embarras du choix. Une intense réflexion fut nécessaire. Un tirage à la courte paille indispensable. Adieu le droit. Adieu la médecine. Je serai finalement ingénieur. Et surtout j’allais quitter la maison familiale banlieusarde pour une colocation en plein cœur de Londres. Si la difficulté de l’enseignement dispensé ne m’inquiétait absolument pas, je ne pouvais pas en dire autant de ce nouveau mode de vie. En effet, grâce à la ténacité parentale j’avais jusque-là été tenu à l’écart de toute forme d’amitié plus ou moins proche. Et là j’allais devoir cohabiter avec trois personnes de mon âge et je n’avais absolument aucune idée de la façon dont gérer ces choses-là.

Heureusement, le courant passa entre nous immédiatement. Mieux que ça même. Je me suis d’ailleurs souvent demandé par quel miracle nous nous étions retrouvés tous les quatre dans cet appartement au deuxième étage d’un vieil immeuble victorien, sans jamais parvenir à trouver une réponse qui me satisfasse. Je ne me lancerais pas dans des portraits détaillés, ça n’a aucune espèce d’importance aujourd’hui. Tout ce que vous avez besoin de savoir c’est qu’ils s’appelaient Alice, Eden et Charlie, et qu’ils sont à ce jour les trois seules personnes que j’ai jamais considérées comme étant mes amis. En dehors des cours nous étions toujours ensemble, à discuter, rire, refaire le monde, ne rien faire. A vivre. Nous étions inséparables.

Leurs encouragements étaient d’ailleurs la seule raison pour laquelle je poursuivais encore mes études. J’étais sur le point de devenir docteur en physique. Docteur. Mes parents étaient si fiers. A chaque fois que je les avais au téléphone c’était la même rengaine, le même enthousiasme, les mêmes plans sur la comète. Je les écoutais à peine, car au fond de moi je savais que je n’étais pas fait pour être ingénieur. Ni avocat. Ni médecin. Je n’avais pas besoin d’un poste prestigieux, ni de gagner énormément d’argent. C’était leur rêve, pas le mien. Ce dont j’avais réellement besoin, je l’avais déjà : trois amis avec qui j’étais prêt à tout traverser, à tout vivre. Rien d’autre n’avait vraiment d’importance. Pour la première fois de ma vie j’étais véritablement heureux.

Jusqu’au 5 avril 1987. Ce jour-là, mes colocs étaient partis célébrer la fin de leur année universitaire. Ils m’avaient proposé de les accompagner, mais j’avais décliné. Ma soutenance de thèse approchait et j’avais vraiment envie de m’en débarrasser. Mon diplôme en poche, j’abandonnerai la physique et je me trouverai un boulot tranquille qui me laisserait du temps libre. Je restais donc à travailler pendant qu’ils s’amuseraient à faire la tournée des bars du cœur de Londres. Sauf qu’ils ne sont jamais rentrés. Quand je reçus un appel de la police au beau milieu de la nuit me demandant de me rendre le plus rapidement possible sur les lieux d’une explosion en plein centre-ville, mon univers s’effondra. Fuite de gaz… explosion… nombreuses victimes… avons trouvé votre numéro de téléphone… J’écoutais à peine ce que l’on me disait. Arrivé sur place, je ne pouvais que confirmer l’identification de mes amis grâce aux vêtements qu’ils portaient ce soir-là. Leurs visages étaient totalement méconnaissables. Cette image ne m’a jamais quitté.

Je ne sais même pas comment j’ai fait le chemin du retour cette nuit-là. Je n’étais qu’une coquille vide qui errait dans les rues de Londres. Lorsque je retrouvais finalement ma chambre au deuxième étage, j’avais immédiatement du mal à respirer. Je me sentais oppressé. Oppressé par ma situation, par l’étroitesse de la pièce, par tout. J’ouvrai la porte-fenêtre et avançais en chancelant sur le balcon. L’air frais de la nuit envahit aussitôt mes poumons, mais il ne m’apporta aucun soulagement, bien au contraire. Le constat me frappait avec plus de force encore et il était plus amer que jamais : ils étaient partis sans moi, ils m’avaient abandonné, me laissant seul dans ce monde qui venait de perdre son seul intérêt. Sans presque m’en rendre compte j’avais déjà enjambé le parapet. Ce n’était pas la première fois que je me demandais ce que l’on pouvait sentir dans ce genre de situation, à ce moment précis où tout bascule... Et avec la rue en contrebas, je dus m’avouer que c’était encore moins compliqué que ce que j’avais imaginé. Tout ce dont vous avez besoin, c’est d’un peu d’élan, rien de plus. Je fermais les yeux, écartais les bras et me laissais basculer en arrière. Facile. Trop facile.

La plupart des gens à l’article d’une mort violente vous racontent tous la même histoire, peu importe les circonstances de leur trépas à venir : les mêmes flashs qui passe devant leurs yeux, la même fameuse « vie qui défile ». Pour moi, ce ne fut pas le cas. Comme si mon cerveau s’était déjà fait une raison, ou comme s’il n’arrivait pas à sélectionner les événements suffisamment marquants pour faire honneur à cette apothéose tragique. Pas de rétrospective accélérée de mon existence donc, pas de best-of personnel, à peine les visages de mes amis qui se forment une dernière fois dans mon esprit. Et le soulagement. Enfin. Dans quelques instants, tout sera terminé. Le temps semble suspendre son vol, comme pour faire durer ces quelques secondes qui seront les dernières passées sur cette planète. Mais j’étais bien, j’étais bien. Jusqu’ici tout va bien… Jusqu’ici tout va bien…

Sous les pavés, la plage. Sur les pavés, mon corps brisé. Quand ma tête heurta le sol et que je m’écrasais sur le pavage de la rue dans un craquement sinistre, tout l’air contenu dans mes poumons s’échappa instantanément sans que je ne sois en mesure de les remplir à nouveau. Je ne pouvais littéralement plus bouger d’un centimètre, ma colonne vertébrale s’était certainement rompue sous le choc et une douleur lancinante irradiait dans tout mon corps tandis que mon sang poissait les pavés dans une auréole carmin. Je savais que tout était fini, j’avais réussi mon coup, ce n’était qu’une question de secondes. Mes yeux s’ouvraient une dernière fois et se posait sur le ciel étoilé. Mintaka, Alnilam et Alnitak brillaient juste au-dessus de ma tête. La ceinture d’Orion, les trois seules étoiles que j’avais jamais su retrouver à chaque fois. Orion, le chasseur. J’aurais dû y voir un signe…

Pour le moment, un voile tombait déjà sur mes yeux. Malgré la souffrance qui ne m’abandonnait pas j’admirais la voûte céleste, attendant le clap de fin avec impatience maintenant, quand une ombre se pencha au-dessus de moi. Je ne l’avais ni vu, ni entendu venir, c’était comme si elle s’était juste matérialisée à mes côtés. Je ne parvenais pas à distinguer ses traits, seulement des contours flous et deux points brillants. Je voulais lui dire dégager de devant mes étoiles, de me laisser crever en paix, mais seul un gargouillis lugubre sortit de ma gorge. Une main froide vint alors se poser sur mon front quand il s’agenouilla auprès de moi. Maître Vampire, par l’odeur alléché, me tint à peu près ce langage : « Hé ! Bonjour, m’sieur du caniveau. Que vous êtes amoché ! que vous me semblez bon ! Sans mentir, si votre saveur se rapporte à votre senteur, vous êtes le Phénix des hôtes de ces rues. » Puis sans ajouter un mot, il versa un liquide rouge dans ma bouche et je perdis connaissance. J’étais mort.

A ma grande surprise, je me réveillais quelques heures plus tard avec un goût désagréable de fer dans la bouche. J’étais toujours allongé sur les pavés, le balcon de ma chambre surplombant la rue, mais je n’avais plus mal. Et je n’étais définitivement pas mort. Physiquement, je ne m’étais même jamais senti aussi bien. Je pouvais à nouveau bouger. Et hormis mes vêtements déchirés, je n’avais plus aucune trace de ma chute. C’était comme si je m’étais allongé sur les pavés et que j’avais simplement voulu dormir à la belle étoile. L’image de l’ombre me revint en mémoire. Petit à petit, la réalité s’insinuait en moi comme un poison. Moi qui voulais mettre un terme à mes jours, j’étais devenu immortel. Ironique, n’est-ce pas ? Ne pouvant plus me retenir, je hurlais ma rage et ma frustration à la face du monde. Sans grand effet. Puis, finalement, je m’asseyais et constatais que j’arborais un étrange bracelet au poignet gauche. Je voulus l’enlever sur le champ, mais sans succès.

Durant les premières heures qui ont suivi ma métamorphose, j’expérimentais mes nouvelles prédispositions. Ma force et ma vitesse décuplées. Mes sens considérablement aiguisés. Et la faim. Surtout la faim. Naïvement, je pensais que ce que j’avais raté dans ma vie humaine, je pourrais le réussir en tant que vampire, et que pour ça il me suffirait de ne pas me nourrir pendant suffisamment longtemps. Une grève de la faim avec la mort comme seule revendication en quelque sorte. Mais je n’étais pas prêt à résister à un tel appel. Très vite je devins fou, incontrôlable, à tel point que je finis par déchiqueter trois humains pour étancher ma soif. La satisfaction immédiate passée, j’étais vraiment au plus mal. Il fallait impérativement que je trouve une solution, et vite.

Je réfléchis de longues heures à cette solution, et quand elle s’imposa enfin à moi, je ne pus m’empêcher de me demander comment j’avais fait pour ne pas y penser plus tôt tellement elle était évidente. Une ville aussi immense que Londres ne devait pas manquer de suicidaires, et cela constituerait une manne de victimes « volontaires ». Aussitôt, ma résolution fut prise. J’allais devenir équarrisseur et ainsi m’assurer qu’aucun de ces malheureux ne connaîtrait le même destin tragique que moi. A partir de ce moment-là, et dès que je sentais la faim me tenailler, j’arpentais les ponts, je fréquentais les bars les plus mal famés de la capitale et je trouvais une victime à soulager de ses souffrances. A chaque fois. C’était facile, scandaleusement facile. Tellement de gens voulaient mourir… Ce monde était vraiment irrémédiablement et complètement tordu.

Maintenant que j’avais trouvé une façon acceptable de calmer ma soif, j’avais besoin d’autre chose : une raison de « vivre », à défaut d’un meilleur terme. J’en trouvais une rapidement qui me permit de canaliser cette rage qui me consumait maintenant en permanence : trouver ce connard qui avait gâché ma mort et lui demander des explications. Pour commencer. Pendant plusieurs mois j’ai écumé les bas-fonds de la capitale, essayant de recueillir des informations sur son identité, mais rien. Juste une adresse. Un lieu. Mystic Falls.


Derrière l'écran

† Prénom/Pseudo : Ju † Âge : 29 ans (et presque toutes mes dents) † Comment as-tu connu le forum? : Laura :3 † Ton personnage est ? : Inventé †  Un dernier mot ? : Chaussette. Et un grand merci à Silver qui a (si mes informations sont correctes) accepté que je puisse utiliser Matthew Daddario pour représenter Aaron.  :**:
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Donna Holloway
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Donna Holloway

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MessageSujet: Re: Take another walk out of your fake world - Aaron Barker   Take another walk out of your fake world - Aaron Barker I_icon_minitimeLun 16 Mai - 17:56

Bienvenue mon mignon ♥
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MessageSujet: Re: Take another walk out of your fake world - Aaron Barker   Take another walk out of your fake world - Aaron Barker I_icon_minitimeLun 16 Mai - 17:58

Bienvenue ! J'aimerais bien te piquer un lien quand tu seras validé :3
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Rebekah Mikaelson
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MessageSujet: Re: Take another walk out of your fake world - Aaron Barker   Take another walk out of your fake world - Aaron Barker I_icon_minitimeLun 16 Mai - 18:22

Bienvenue parmi nous :keur:
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MessageSujet: Re: Take another walk out of your fake world - Aaron Barker   Take another walk out of your fake world - Aaron Barker I_icon_minitimeLun 16 Mai - 18:42

Bienvenue à toi ! Very Happy
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Slade S. Harper
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MessageSujet: Re: Take another walk out of your fake world - Aaron Barker   Take another walk out of your fake world - Aaron Barker I_icon_minitimeLun 16 Mai - 20:01

Bienvenue a toi Smile
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MessageSujet: Re: Take another walk out of your fake world - Aaron Barker   Take another walk out of your fake world - Aaron Barker I_icon_minitimeLun 16 Mai - 20:27

Hey bienvenue ! :youhou: Si tu as la moindre question n'hésite pas bounce
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MessageSujet: Re: Take another walk out of your fake world - Aaron Barker   Take another walk out of your fake world - Aaron Barker I_icon_minitimeLun 16 Mai - 22:06

Hello my love :**: :langue: :fuck:
Oui, c'est une bonne façon de t'accueillir je trouve.
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Chris Durden
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MessageSujet: Re: Take another walk out of your fake world - Aaron Barker   Take another walk out of your fake world - Aaron Barker I_icon_minitimeLun 16 Mai - 22:20

Bienvenue à toi ! :3
N'hésite pas si tu as des questions, je m'occupe de lire ta fiche !
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Shxt Happens


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MessageSujet: Re: Take another walk out of your fake world - Aaron Barker   Take another walk out of your fake world - Aaron Barker I_icon_minitimeLun 16 Mai - 22:32

Bienvenue Aaron !





Ta fiche a été validée, bienvenue à toi !
Nous sommes ravis de te compter dans nos rangs. Pour t'aider à te lancer, voici quelque liens qui te seront utiles pour la suite.

Fonce créer ta fiche de liens, c'est grâce à cela que tu pourras te faire plein d'amis et d'ennemis  Si tu as des questions, tu peux demander aux autres membres et au Staff de t'aiguiller sur la façon de faire.

Pense aussi à créer ta fiche de RP, tu pourras y noter tous tes RPs en cours, prévus, ou terminés. Ça t'aidera grandement par la suite pour t'y retrouver si tu es bien actif !

Pour pouvoir bien te lancer dans l'aventure, il faudra que tu penses à faire recenser ton logement, ton travail si tu en as un, et tes études, si jamais tu es étudiant !

Le Staff pense à toi ! Tu as la possibilité de créer ton propre Journal Intime, nous sommes dans The Vampire Diaries, non ?!

Le Flood est l'endroit où tu peux vraiment tisser des liens avec les membres, n'aie crainte, personne ne mord véritablement. Tu pourras y trouver des jeux notamment.

N'hésite pas à rejoindre la ChatBox, ça nous permettra de faire connaissance avec toi plus vite !

Ce sera tout, si tu as la moindre question nous sommes à ton écoute. Bon jeu parmi nous. :love:


© captain-marvell


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MessageSujet: Re: Take another walk out of your fake world - Aaron Barker   Take another walk out of your fake world - Aaron Barker I_icon_minitimeMar 17 Mai - 8:35

Merci à tous pour votre accueil !  :**:

Ivy E. Grey a écrit:
Hello my love :**: :langue: :fuck:
Oui, c'est une bonne façon de t'accueillir je trouve.

La meilleure qui soit je dirais.  :inlove: :come:

Lacey A. Jensen a écrit:
Bienvenue ! J'aimerais bien te piquer un lien quand tu seras validé :3

Pas de soucis ! :pom:
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MessageSujet: Re: Take another walk out of your fake world - Aaron Barker   Take another walk out of your fake world - Aaron Barker I_icon_minitime

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